Faire le point 52


11322126-portrait-de-jeune-femme-d-39-affaires-gestes-le-temps-signeCinq étapes pour faire le point au préalable

La première chose à faire quand on en a marre de son boulot, de manière durable bien sûr, c’est de se poser pour faire le point.

 

En effet, quand on est pris dans le tourbillon du métro-boulot-dodo, tous les jours se répètent les mêmes ennuis, les mêmes obstacles, les mêmes difficultés bouffeuses de temps et d’énergie.

Et tous les jours, le même sentiment de ras-le-bol se répète, on devient irritable, on finit par tout voir en noir et on a envie de tout envoyer péter en bloc, d’un coup.

La tentation de la démission se fait jour, on se met à se disputer de plus en plus avec ses collègues, on explose avec son patron, on se met en colère en réunion ou pire on se met à fondre en larmes pour une bêtise.10827320-jeune-employee-de-bureau-folle-par-le-stress-hurler-isole-sur-blanc

Il est temps de faire quelque chose!

Mais avant de tout envoyer valser d’un coup et de vous retrouver sans rien- et non pas au chômage car vous aurez démissionné et donc pas d’assédics!- il vaut mieux commencer à réfléchir sérieusement au problème.

Nous allons procéder par étapes.

 

  • La première étape : faire le point sur votre ras-le bol 

De quoi en avez-vous marre exactement?  Votre ras-le bol est-il dû à votre style de vie, à votre entreprise, à votre métier, à votre entourage professionnel? Il va être important de distinguer les aspects les uns des autres afin d’envisager les solutions appropriées. Ce n’est pas la même chose d’en avoir marre du métro-boulot-dodo, de ne pas aimer son métier ou de ne plus supporter son chef et ses collègues…

Pour procéder à cette première étape, lire l’article « Faire le point, première« 

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  • La deuxième étape: mettre noir sur blanc ce que vous n’accepterez plus.. 

Ce que vous ne voulez plus jamais avoir à supporter dans votre prochain job ou dans votre prochaine étape de vie.  Il est clair que le choix des solutions à apporter à votre problème ne sera pas le même. Si vous ne supportez plus le métro-boulot-dodo mais que votre prochain emploi vous obligerait encore une fois à avoir de longs trajets en transports en commun, vous ne solutionnerez pas le problème de cette manière. De même, si travailler avec des collègues ou avec un chef sur le dos n’est plus possible pour vous, retravailler dans une autre entreprise n’apportera pas de soulagement à votre ras-le bol, les mêmes causes produisant les mêmes effets.

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  • Troisième étape: dresser la liste de ce que vous aimer dans le travail, dans ce métier dans cet emploi s’il en reste 😉 . 

En effet, il serait dommage d’envisager de vous reconvertir si vous aimez encore ce métier, et que seul votre entourage professionnel ou votre trajet vous insupporte. Par contre, si vous vous rendez-compte qu’en fait, tout ce qui vous est insupportable est lié à votre profession, tel un boulanger qui ne supporterait plus de faire du pain, ou un conseiller qui ne supporte plus les clients, il est clair qu’il faudra envisager non seulement, de changer d’entreprise mais surtout de changer de métier!

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  • Quatrième étape: il va falloir établir ce que vous voulez désormais, comme conditions de vie et travail.

Vous allez me dire, peut-être, ne plus travailler du tout! Et bien pourquoi pas, comme disait la chanson « le travail c’est la santé, ne rien faire c’est la conserver! ». Si vous en avez les moyens, des super économies devant vous, un héritage ou vous venez de gagner au loto, allez-y! Un congé sabbatique est toujours possible de toute façons! Mais sans rire, prenez le temps de marquer ce que vous souhaitez à l’avenir, même si ça vous paraît impossible dans un premier temps!

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  • Cinquième étape et non des moindres: faire le point sur vos compétences.

Ce que vous savez faire et êtes capable de faire! Je sais que quand on a le nez dans le guidon, c’est pas forcément évident de reconnaître ce qu’on sait faire, surtout si on subit un harcèlement ou un management par le stress. On ne vous fait jamais voir que ce qui ne va pas et jamais ce qui va. Difficile donc de savoir ce qu’on vaut.

Cette étape est cependant la plus importante et celle qui peut vous demander le plus de temps: vous allez devoir rechercher TOUT ce que vous êtes capable de faire! Y compris dans vos loisirs!

Je ne saurais trop vous recommander pour cette étape de faire un bilan de compétences. Cette prestation à laquelle vous avez droit, que vous soyez salarié ou demandeur d’emploi fait un bien fou. Vous allez redécouvrir qui vous êtes et ce que vous valez, qui est bien au delà de ce que vous manifestez dans le cadre de votre emploi actuel, qui peut même être l’inverse de ce que vous êtes vraiment!

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Quand vous aurez procédé à ces 5 étapes, dans l’ordre que vous voulez, des pistes de solutions se dégagerons.  

Vous n’en serez pas encore à partir, car vous devrez explorer en détail chacune de ces pistes pour pouvoir faire le choix de la meilleure solution pour vous!

Mais nous verrons ceci dans les autres chapitres….

Bon courage et à bientôt pour de nouvelles aventures! 😀

 

Avant de passer à l’action, faites le point sur vos ressources et contraintes 

Maintenant que vous avez fait le point sur votre ras-le bol, sur les conditions de travail que vous souhaitez et celles que vous ne souhaitez plus, que vous avez pris conscience de vos valeurs et motivations au travail, et établit votre portefeuille de compétences, vous savez à peu près vers où vous diriger.

Sans doute avez-vous dégager deux ou trois pistes à explorer. Mais pour vous décider, il va falloir savoir ce qui va être réaliste ou pas en fonction de vos contraintes et ressources avant de vous décider. C’est  ce que je vous propose de faire maintenant en lisant ce petit article pour savoir comment vous y prendre: Faire le point sur vos ressources et contraintes

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52 commentaires sur “Faire le point

  • Daler

    Bonjour après 14 ans comme vendeur en grande distribution je ne supportais plus les clients je me suis dit-il était temps de changer désormais commercial BtoB j’ai cru que c’était mon environnement de mon ancienne entreprise qui me pesait mais là je me rends compte que le commerce n’est plus fait pour moi… J’ai 35 ans ai là pour la première fois je me sens perdu professionnellement. Que feriez vous ? Merci Stephane

    • Isabelle Belledant Renard

      Commencez par demander un bilan de compétences, cela vous permettra de faire le point sur ce qui vous convient comme environnement de travail, milieu professionnel et sorte de métiers. Vous pouvez aussi consulter un Conseiller en Évolution Professionnel. Vous en trouverez chez Pôle Emploi notamment.
      Un Coach Professionnel privé peut aussi vous accompagner pour construire un nouveau projet d’orientation qui conciliera vos motivations, compétences et réalités économiques.
      Vous pouvez me re contacter par le formulaire de contact si vous souhaitez que je vous accompagne dans cette démarche!
      Bon courage!

    • Isabelle Belledant Renard

      Bien sûr, je peux vous aider à vous retrouver dans la mesure où c’est mon métier. ET en fonction de ce que vous êtes prête à changer.

      Avez-vous des disponibilités pour que nous ayons un premier entretien par Skype ?
      Je pars en congé le 9 et serai de retour à partir du 29…
      Je vous laisse me re contacter sur le formulaire de contact en me mettant vos coordonnées et vos disponibilités.
      À très bientôt !

  • Flo

    Bonjour, jai travaillé pendant 15 ans au sein d1 agence d interim et j en avais marre des interimaires qui n etaient pas sérieux. En 15 jours, j’ai postulé à 1 offre d assistante administrative et commerciale et jai ete prise. Pendant 4 semaines, ma chef m’a testee en me mettant sous pression. J’ai failli péter un câble mais en lui disant ce qui n’allait pas, elle m’a dit qu’elle etait contente de moi ms que j etais trop stressée et que je manquait de confiance en moi. Sur le coup, cela m’a fait plaisir ms avec du recul, j’ai trouve cette façon de faire degueulasse.Aujourd’hui, je vais travailler à reculon, et ne sais que faire car jai demissionne de mon ancien emploi. Je me sens perdue

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Flo,
      Je comprends que vous ayez été un peu échaudée par cette entrée en matière stressante. Cependant, je ne vois pas là matière à démissionner. Il est normal que votre employeur vous teste pendant la période d’essai, pour voir si vous allez tenir le rythme sur la durée.
      Il ne faut pas forcément y voir quelque chose de malsain, mais plutôt l’inquiétude légitime d’un employeur qui ne veut pas se tromper. Maintenant, si ce qu’on vous a fait vivre durant la période d’essai est le reflet de ce qui se passe au quotidien dans cette entreprise, et que cela ne vous convient pas, la période d’essai est justement là por que vous vous en rendiez compte également ! Donc si la période d’essai n’est pas encore terminée, ou qu’elle est prolongée, profitez en pour partir. Mais si elle est passée, alors il vaut mieux ne pas démissionner en effet. Pour que vous ne perdiez pas vos droits Assédics d’une part, ni que vous ne passiez pas pour quelqu’un de trop difficile. Restez, et voyez avec le temps comment ça se passe. Si ça ne va pas pour vous il est probable que de toute façon vous ne donnerez pas le meilleur de vous-même et que vous ne satisferez pas votre employeur non plus. Dans ce cas, il sera toujours temps de demander une rupture conventionnelle !
      Mais laissez-lui et laissez-vous une chance de voir si ça peut marcher. Ne partez pas du principe que votre employeure est une peau de vache parce qu’elle vous a testée. Soyez attentive à ce qui s’est passé ne se reproduise pas. Vous verrez bien!

      Bon courage !

  • Patras

    Bonjour, jai travaillé pendant 15 ans au sein d1 agence d interim et j en avais marre des interimaires qui n etaient pas sérieux. En 15 jours, j’ai postulé à 1 offre d assistante administrative et commerciale et jai ete prise. Pendant 4 semaines, ma chef m’a testee en me mettant sous pression. J’ai failli péter un câble mais en lui disant ce qui n’allait pas, elle m’a dit qu’elle etait contente de moi ms que j etais trop stressée et que je manquait de confiance en moi. Sur le coup, cela m’a fait plaisir ms avec du recul, j’ai trouve cette façon de faire degueulasse.Aujourd’hui, je vais travailler à reculon, et ne sais que faire car jai demissionne de mon ancien emploi. Je me sens perdue

  • Nicolas

    Bonjour,
    le titre du site est clair et on y tombe quand on pose la bonne question ! Devinez quoi ? Eh bien, moi aussi, j’en ai marre du boulot. Mais cela fait 20 ans maintenant que ça dure. J’exerce un métier qui ne me passionne pas mais me permet de gagner très correctement ma vie. J’ai simplement l’impression d’avoir fait une grosse concession de 20 ans au mépris de mes passions et mes vrais rêves de vie.
    J’ai une piste alternative et précise, correspondant à mes aspirations, incluant une formation, avec un poste assuré au bout du compte mais aujourd’hui je ne sais pas si je serai admis dans la prochaine promotion. Je suis à deux doigts de demander une rupture conventionnelle car je vais chaque matin au travail avec la boule dans la gorge. Je n’arrive plus à réaliser mon travail. Cela m’épuise et me pollue justement pour me préparer à mon autre projet. J’ai un défaut, je craque très difficilement… Que faire ? tenir, tenir ? Ou partir sans garantie sur la suite. Je suis divorcé et j’élève des enfants en garde partagée…

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Nicolas,
      Merci pour votre humour et pour le clin d’oeil! 😉
      Avant de tout lâcher, demandez un congé, cela vous permettra de vous poser et de préparer votre projet!
      Prenez un congę sabbatique s’il le faut! Mais ne passez pas à côté du CIF qui vous permettra de financer votre formation…
      Dans combien de temps les sélections ont-elles lieu? Pouvez-vous au moins vous assurez que vous avez les criteres de sélection pour cette formation? Si oui, vous pouvez dors et déjà préparer votre dossier de demande de Congé Individuel de Formation!
      Ensuite vous demandez votre congé sabbatique avant de poser votre demande de CIF, et puis zou! Adios amigos! Vous demanderez votre rupture conventionnelle en rentrant de votre CIF…
      Et voilà! 🙂
      Si jamais vous n’étiez pas pris dans votre formation, cela vous aura permis de vous reposer…

  • Nons

    Esthéticienne depuis 17 ans.
    J’ai travaillée 5 ans dans un centre Yves Rocher et depuis 12 ans dans une parfumerie institut.
    Le problème c’est que je fais de moins en moins de cabine et je suis de plus en plus en parfumerie.
    Je ne supporte plus les clientes, une mauvaise ambiance car des collègues qui font le minimum et une responsable pas vraiment responsable et surtout jamais présente au magasin et toujours planquée dans son bureau.
    Des conditions de travail que je ne supporte plus à travailler 6 jours sur 7 jamais de samedi pas de vacances juillet août et décembre…
    Bref un ras le bol général.
    J’ai penser me mettre à mon compte ouvrir un institut et travailler en solo le problème reste financier.
    Une reprise ou création d’institut reste cher.
    Je ne sais plus quoi faire.
    Je ne vais pas encore travailler avec la boule au ventre mais commence à avoir des maux de dos récurrents.

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Nons,
      Il semble en effet qu’il soit temps pour vous de changer d’environnement professionnel. Cet institut et la façon d’y travailler ne vous conviennent clairement plus. Vous me dites également que vous ne supportez plus les clientes. Selon vous, est-ce lié à cet institut, à votre état de stress et de fatigue, ou au métier lui-même ? Pourrez vous les supporter si vous changez de lieu de travail ou vous mettez à votre compte? Si oui, alors vous pouvez soit changer de magasin, et commencer votre recherche d’emploi dès que possible, soit vous mettre à votre compte. Dans ce dernier cas, il existe la possibilité d’exercer à domicile, dans un camion ( c’est à la mode) ou en institut. Les deux premières solutions étant financièrement moins coûteuses. Évidemment, tout cela dépend de votre lieu d’habitation et de là où vous souhaitez exercer.
      Dans tous les cas, si vous faites un bon business plan, vous pouvez faire une demande de crédit ou de micro-credit à l’Adie. Ou un financement participatif sur une plateforme de crowdfunding.
      Si, par contre, vous ne supportez plus les clientes du tout, qu’elles que soient les circonstances, alors, une reconversion s’impose.
      Dans tous les cas, je vous conseille de vous poser pour réfléchir à tout celà. Un bilan de compétences suivi d’un travail d’accompagnement de projet me semblent tout indiqués dans votre cas. Nous pouvons faire ce travail de construction de projet ensemble, si vous le souhaitez. Je me tiens à votre disposition. À bientôt et bon courage!

  • celine

    Bonjour , merci pour cet article et ces conseils .
    j’ai couché sur papiers tout ce que vous conseillez d’analyser , pour le moment je suis encore perdue .
    Pour mon cas , j’ai 36 ans je suis conseillère de vente , ce qui inclus de la manutention ( et oui ! les vêtements n’arrivent pas en magasins déjà sortis , ils arrivent dans de lourds cartons et ensuite il faut les cintrer/pliés, ranger ..) , du « merchandising » qui change très souvent dans mon entreprise , il faut « blindé » les rayons toujours , supporter les remarques de certains clients . être debout toute la journée et bougé ne me dérange pas . ce qui e dérange ce sont les remarques , dans le dos bien sur , de ma responsable qui critique mon choix de ne pas accepter de travailler les dimanches ..ceci est un droit . malgré ça j’ai fait l’effort de lui dire que j ‘acceptez de travailler un dimanche pour les fêtes , mais cela ne change rien . Pourtant , nombre de fois ou les plannings ne sont ps fais a l’avance et ou ils changent fréquemment , je m’arrange toujours a être dispo même en ayant 3 enfants dont 2 petits! et ne ayants 35 mn de route aller et retour !! mais cela elle n’as pas l’air de s ‘en rendre compte . a contrario , une de mes collègues ( 22 ans ) est dans l’entreprise depuis 3 mois , elle ne veut pas faire plus d’heures ( c’est son choix ) mais a été ( et est encore actuellement ) en arrêt , ca fait 1 mois et demi en tout ! et elle , elle n’as aucune remarque !
    J’ai développer depuis quelque temps de fortes douleurs musculaire qui grâce a l’ostéopathie se sont atténuées mais il me reste une douleur dans le bas du dos qui persiste ( rdv docteur pour bientôt ) , je ne suis pas dupe , cela est du au travail et au stress.
    désolé pour le pavé ! lol . et encore merci pour votre article , j’espere y voir plus clair rapidement

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Céline !
      Vous avez bien fait, c’est un bon début. D’après ce que vous me dites, vous n’en avez pas forcément assez de ce métier mais surtout de ce magasin et de sa chef! Mauvaise organisation et manque de respect de vos choix, médisance ( ça malheureusement il y en a partout) , vous commencez à être malade, bref, vous en avez littéralement  » plein le dos ».
      Donc, si vous aimez votre métier, il faut simplement changer de magasin.
      Si votre magasin fait partie d’une chaîne, prenez rendez-vous avec vos RH et voyez s’il y a moyen d’être transférée sur un autre magasin. Si ce n’est pas le cas, et bien, il est temps de refaire votre CV et de commencer à explorer les autres magasins et les offres d’emploi… quand vous aurez trouvé, et bien vous démissionnerez ou ferez une rupture conventionnelle !
      Attention cependant, si vous commencez à avoir des maux de dos et des problèmes articulaires, soyez vigilante à rechercher un secteur d’activité où la manutention lourde est faible, si possible. Par exemple, les bijoux et accessoires…
      Si vous avez encore besoin de réfléchir, contactez-moi!
      Et tenez-moi au courant…A bientôt ! 🙂

  • Sarah

    Cuisiniere depuis maintenent 2 ans dans la meme entreprise et rien ne va … j’ai 20 ans j’ai passer mon diplome puis juste apres je me suis mise a travailler dans cette entreprises (en CDI) . En avril dernier mon medecin ma mise en arret maladie car pour lui j’etais a la limite du burn-out, je manger plus, je fessais que dormir je sortais plus et je fessais que pleurer pour un rien . J’avais des douleurs partout la nourriture me donner envie de vomir … Bref pendant 2 mois de long j’etais dans cette etat puis mon copagnon ma dit d’aller hoir le medecin d’où l’arret d’une semaine sauf que mes patron l’ont tres mal pris il m’ont indulter … mon medecin voulais me remettre en arrêt mais je n’ai pas voulu vue comment sa c’etais passer … a l’heure acctuelle j’ai des forte douleurs au dos, si je continu ainsi le kiner a dit que dans 5 ans je pourrais plus travailler … je suis totalement perdu j’ai plus envie d’aller travailler je vais au travail sans envie … je sais plus quoi faire …. merci de vos réponses sarah .

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Sarah,
      Votre médecin à raison! Vous êtes en grand danger et vous continuez à vous détruire!
      Ce qui vous arrive est non seulement la preuve évidente que vous DEVEZ vous arrêter, c’est une question de vie ou de mort. ET que vous devez CHANGER DE TRAVAIL.
      Commencez par accepter l’arrêt maladie que vous propose votre médecin et voyez avec le médecin du travail pour vous mettre en invalidité. Il sera donc obligatoire pour votre entreprise de vous recaser sur un autre poste ou de vous licencier! Dans tous les cas, même si vous n’optez pas pour la solution de l’invalidité, il vous faut ABSOLUMENT vous arrêter ET entamer une démarche de reconversion ou de recherche d’emploi ailleurs.
      Le fait que vos employeurs vous aient insultée parce que vous avez été malade est inacceptable! Ces personnes ne sont pas dignes de votre engagement professionnel. Allez exercer vos talents ailleurs! Et vite! Cessez de craindre leur réaction et quittez-les vite fait! Où ils finiront par avoir votre peau. Je ne plaisante ni n’exagère. Votre corps vous montre depuis un moment que vous vous détruisez. Vous êtes en train de bousiller votre santé! Et croyez moi, ce genre de choses, ça peut même être définitif. Vous pouvez attraper une maladie dégénérative ou un cancer à force de continuer à vous user. Donc, dehors! Et vite!
      C’est une question de survie pour vous. Ne vous posez pas maintenant les questions de ce que vous allez faire après. Prenez d’abord le temps de vous reposer physiquement et moralement.Puis, faites vous aider. Vous avez des coachs comme moi, des conseillers à l’ANPE, l’Afpa, les centres de bilan de compétences qui peuvent vous accompagner dans cette démarche. Allez demander un Conseil En Évolution Professionnelle dans l’un des endroits cités ci-dessus une fois que vous vous serez reposée.C’est gratuit et tout le monde y a droit. Ensuite, vous pourrez faire un bilan de compétences, pareil, c’est gratuit pour vous. Vous avez travaillé toute votre vie sans utiliser vos droits, donc, tout ce que vous entamerez sera gratuit. Vous pourrez faire ensuite une formation si vous voulez… Enfin, tout vous sera possible et vos employeurs ne pourront pas s’y opposer. Donc allez-y!
      Arrêtez-vous ! Et reprenez votre vie en main! Vous le valez bien. Croyez-moi, quelqu’un d’autre saura apprécier vos talents…

    • jessica

      bonjour je suis dans le même état que toi, je suis chef cuisinière aussi avec des responsabilité j ai excitée pour prendre le poste et on ma pousser a le prendre et j aurais pas du je suis déprimer y allez demain un ral bol de tout des mal de ventre le matin et commence a voir tout en noir je suis au début de la dépression pour la deuxième fois c est vraiment dur partir oui mais quoi faire avec un crédit de maison sur les bras je suis déprimer envie de rien demain 180 repas a gérer 95 le soir avec un frigo en moins et tout le monde sans fou je suis déborder et plein le dos bon courage a toi sarah.

      • Isabelle Belledant Renard

        Bonsoir Jessica,
        Merci de votre réponse à Sarah. J’espère qu’elle lui apportera le soutien moral dont elle a besoin. Quant à vous, il vous faut envisager de changer de poste dès que possible.Prenez un rendez-vous avec les RH de votre entreprise pour exprimer votre difficulté et votre désir de changer de situation. Et répétez votre demande autant de fois qu’il sera nécessaire pour obtenir satisfaction. Vous pouvez également insister pour être aidée dans votre travail par des embauches supplémentaires ou tout au moins des stagiaires!
        Vous pouvez également me joindre si vous souhaitez quitter cet entreprise ou changer de métier. Je pourrais vous accompagner dans cette démarche.
        Bon courage!

  • Véronique Dufour

    Agent RATP depuis 18 ans au guichet, j’ai vécu toutes sortes de situations brutales et dégradantes: sanctions, intimidations, agressions de collègues, de voyageurs… Au fil du temps, avec les nouveaux objectifs, ce boulot qui au départ avait été choisi comme « alimentaire » (je suis musicienne à l’origine) est devenu un boulet. Je sais à présent qu’ils cherchent à provoquer une démission de ma part en me harcelant, je n’en peux plus. J’ai déjà fait un bilan de compétences suivi d’une formation, là non plus cela n’a pas été concluant. A 52 ans je n’ai plus d’espoir, je me sens vide et nulle. Les choses se répètent: harcèlement, sanctions, arrêts maladie, appels à l’aide auprès de médecins, du médecin du travail, des délégués syndicaux, inaptitude, humiliations répétées, séjours en hôpital psychiatrique pour dépression, congés sans solde…
    Je ne supporte plus rien de ce monde du travail, on veut ma peau et ils vont finir par y arriver.
    J’en viens même à me dire que s’ils me licenciaient, c’est encore ce qu’il pourrait arriver de mieux. Mais à la RATP on ne licencie pas: on pousse au départ, ça leur coûte moins cher.
    Le « marché du travail » me dégoûte, les collègues me dégoûtent, la hiérarchie me fait vomir. Et pourtant, j’ai donné. Tout ce que j’ai pu. Aucune reconnaissance. Aucun moment, plus aucun temps pour continuer à pratiquer ma musique, trop fatiguée obsédée nuit et jour par ce qui prend tout mon temps et toute mon énergie….
    Voilà le quotidien de ce qu’on appelle souvent méchamment un « salarié privilégié » qui est encore une insulte à encaisser.
    Je ne vois aucun avenir et plus aucune solution. Que reste-t-il? Le suicide? Le procès?

  • fred

    bjr, je suis fatigué, par le boulot qui ne me procure aucun plaisir, des supérieurs hiérarchiques hargneux.
    ils sont des manipulateurs hors pair,n ont aucune limite,

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Fred,
      Il est donc temps de vous arrêter pour faire le point et réfléchir à ce que vous pourriez faire d’autre. En tout cas, clairement, il faut changer. D’entreprise, de poste, de job, d’emploi, de métier, mais changer. Et reprendre des forces pour pouvoir le faire.
      Je vous propose de me contacter pour que nous en discutions et que je puisse vous aider à trouver des solutions. Faites-le. Votre santé, votre bien-être, et votre avenir sont en jeu…

  • Zyrahri

    Bonsoir,
    Je suis un peu au bout du rouleau, depuis ma sortie d’étude il y a 5 ans, j’accumule les expériences professionnelles décevantes et qui me rendent malade aujourd’hui.
    Je suis commerciale et ne supporte plus les déplacements, ni la pression d’entreprise, ni les objectifs, ni même la politique d’entreprise avec laquelle je suis en désaccord permanent.
    j’en suis à tel point qu’aujourd’hui je ne veux plus aller au travail, quand j’y suis je tourne en rond, ne suis pas productive… je me rends bien compte que c’est mal mais je ne trouve pas la force de me motiver
    je reprends le travail demain après 3 semaines de vacances, et ca me ronge depuis déjà une semaine
    il y a des nuits ou je ne parviens pas à dormir et ou je ne pense qu’aux pbs qui m’attendent le lendemain
    L’an dernier, je me sentais très mal, fatiguée mais sans y prêter attention jusqu’au jour ou j’ai eu un accident de voiture sur l’autoroute
    Aucune séquelle physique heureusement, mais le le médecin que j’ai vu par la suite m’a tout de suite arrêté, peu au début car il voulait que je me rende compte moi même que rien n’allait plus, en réalité mon corps entier était parti en vrille et il m’a dit que j’avais fait un burn out métabolique. j’ai donc eu 3 arrêt de 10 jours environ a chaque fois. il m’a fallu plus de 6 mois de traitement pour que mes différents indicateurs reviennent à la normale.
    Aujourd’hui j’ai 30 ans, je me sens mieux mais j’ai pris conscience qu’a force de faire la sourde oreille je pouvais vraiment me détruire de l’intérieur, et j’ai peur que cela recommence.
    Je pense tous les jours à démissionner ou trouver un arrangement avec mon entreprise mais je ne sais pas vers quoi me tourner, j’ai peur de ne pas trouver ma voie alors que j’ai toujours rêvé de trouver un travail qui m’épanouirait complètement et dans lequel je serai investie à 100%
    Je ne sais que faire, merci pour les conseils que vous pourriez m’apporter, je me sens dans une impasse, découragée…

    • Isabelle Belledant Renard

      Bon en effet, il est tant de prendre les choses en main. La première chose que vous devriez faire c’est un bilan de compétences. Ca vous permettra de prendre un peu de recul et de faire le point sur vos possibilités. Ensuite, un coaching professionnel vous aidera à déterminer un projet et un plan d’action pour vous sortir de là. Vous avez gardé,j’imagine, tous vos droits à la formation. Quand vous aurez déterminé votre nouvelle orientation, vous pourrez partir en CIF. Au besoin, partez en congé sabbatique pour vous aider à reprendre des forces avant de repartir vers un nouvel avenir. Je peux tout-à fait vous accompagner dans cette démarche si vous le souhaitez. N’hésitez pas à me contacter pour en discuter de vive voix…

  • Fairy

    Bonjour,

    Je suis en poste en CDi en milieu privé, je suis arrivée à un point ou je ne veux plus venir au travail, c’est le malaise rien que d’y penser. Mes collègues n’ont rien à faire de leurs vies, passent leurs temps à critiquer, à mettre des bâtons dans les roues ne pas avoir d’esprit d’équipe. Mes supérieurs sont capricieuses, jalouses, égoïstes et sans aucune gène quand à leur façon de me traiter. Certaines personnes n’ont pas donner suite à leurs rdv au regard du manque de respect qu’elles peuvent avoir à mon égard. J’aime mon emploi mais j’en suis arrivée à un point ou j’en verrai tout C**********……La dessus s’accumule mes problèmes personnels, je suis mariée mais j’élève seule ma fille car le papa est démissionnaire , j’ai appris récemment que j’avais un probleme de santé qui ne sera confirmer ( ou non) que dans 4 mois. Mon médecin souhaite m’arrêter depuis le mois d’Avril je refuse toujours car j’ai besoin d’un salaire et d’un échappatoire à ma situation personnelle. Mais que ca soit chez moi ou au travail, j’ai juste envie de tot laisser tomber. J’ai envie de demander une rupture de contrat conventionnelle mais j’ai peur car ma fille à besoin de moi pour vivre.
    J’ai 29 ans, et au jour d’aujourd’hui la seule chose qui me fait tenir ici ,c’est le sourire de cette petite fille que je retrouve tout les soirs. Que dois-je faire ?? Quel est votre opinion.

    Un grand merci du temps que vous m’ accorderez

    Fairy

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Fairy,

      Vous êtes typiquement dans une situation qui vous met en grand danger. Je ne veux pas vous affoler encore plus, mais il est indispensable que vous vous arrêtiez d’une manière ou d’une autre, avant que votre corps ou votre psychisme ne vous dise stop définitivement. Et là, vous ne serez absolument plus maître de la situation. Vous risquez même d’être amenée à faire  » une bêtise », si vous ne mettez pas fin rapidement à ce surmenage.
      Arrêtez-vous.
      Suivez le conseil de votre médecin et reposez-vous. Rechargez vos batteries morales et physiques avant de ne plus être en état de prendre quelque décision que ce soit. Une fois vos batteries un peu rechargées, et le calme revenu dans vos émotions et votre esprit, vous serez plus à même de réfléchir à votre situation, et d’entreprendre les démarches qui vous permettront de trouver ou retrouver une activité et un contexte professionnel qui vous conviendront mieux, et pourrez reconstruire un projet de vie.

      Mais il vous faut des forces pour cela et vous n’en avez plus.

      Alors, arrêtez-vous. Qu’est-ce que 3 jours de carence par rapport à votre santé ? Votre fille a besoin de vous, en effet, mais elle a besoin de vous vivante et en bonne santé, heureuse et fière de ce qu’elle fait. Donc, faites ce qu’il faut pour cela.
      Et vous avez besoin d’un dérivatif à votre situation personnelle? Ayez un loisir ou faites du bénévolat! Ce sera toujours mieux que ce contexte qui vous démoralise et vous puise votre énergie!

      Je vous conseille l’arrêt maladie dans un premier temps, puis, quand vous aurez retrouvé un peu de force, vous pourrez réfléchir à votre projet professionnel ( je peux vous y aider si vous le souhaitez) et entamer un bilan de compétence, faire éventuellement une formation qui vous permettra de changer de vie, puis négocier votre rupture conventionnelle.
      Si vous partez en rupture conventionnelle tout de suite, c’est possible, mais ensuite ce sera le chômage et la recherche d’emploi. Et je ne suis pas sûre que vous soyez en état pour cela dès à présent. Mais si vous préférez cette option, sachez que vos indemnités de chômage seront moins importantes que vos indemnités maladie, et qu’il y aura un délai de carence de plusieurs mois avant que vous ne commenciez à les toucher.

      Donc, préparez bien votre départ, et commencez par vous reposer!
      Recontactez-moi à la rentrée, si vous le souhaitez, je pourrai vous aider à entreprendre les bonnes démarches!
      Et je veux savoir comment vous allez et où vous en êtes…

      A bientôt donc, de vos nouvelles!
      Amicalement,
      Isabelle

    • jean

      ne te laisse pas submerger fairy, c est une mauvaise passe, elle ne durera pas, pour l instant, ecoute ton medecin et accepete le congé maladie,qui te fera je tassure le plus grand bien.
      rien que le repos va te changer completement au niveau physique et moral.
      Tu auras la tete vide, et la tu auras peut etre une revelation sur ce qu il t arrive, tu comprendras ce qui se passe , pourquoi tu es fatiguee.
      Tu n as pas de probleme de santé grave, et ça c est le plus important.
      de toute façon , tu na s plus le choix, la premiere chose a faire, cest de faire gicler ce ras le bol de ton corps, et cela passera par ton arrret maladie, crois moi.

  • Tiph

    Bonjour,

    J’ai commencé un cdi il y a 7 mois dans 1 nouvelle entreprise et dans 1 nouveau métier. Depuis plusieurs mois, j’accumule la fatigue, le stress, la pression, la route (2h/jour). Le temps de midi, j’ai rarement le temps de manger correctement car les appels et les problèmes fusent. J’ai perdu 3 kilos en peu de temps (je suis déjà mince à la base).
    J’ai des dossiers à ne plus savoir qu’en faire.je reste souvent le soir jusqu’à 19h pour finir mais même avec ça je ne m’en sors pas.
    Je suis épuisée, je dors mal les nuits. Depuis 1 mois, je pleure tous les jours (en cachette au travail..Dans la voiture, chez moi…).
    Je ne me reconnais plus,
    J’ai 27 ans et je me sens perdue.
    Victime de vertiges et maux de tête ce début de semaine, j’ai été arrêté par mon médecin pour 10 jours.j’appréhende la reprise.
    Que me conseillez vous?
    Je me sens vidée, et pas épanouie professionnellement.

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonsoir Tiphaine,
      Vous êtes à la limite du burn-out. Votre médecin à bien fait de vous arrêter.
      Il vous faut profiter de ces dix jours pour réfléchir sérieusement à votre avenir. Vous paraît-il possible de continuer ainsi? Je pense que votre réponse sera non.
      Donc, il est temps de changer. Que ce soit de façon de travailler ( un stage de gestion du temps et/ ou de gestion du stress pourraient vous être utile), de service ou d’entreprise.
      Sans doute faut-il envisager de vous rapprocher de chez vous.
      Une autre question à vous poser est : est-ce que ce métier me convient? Si le rythme ėtait moins intense, ce métier me plairait-il ou non?
      Si la réponse est négative, alors, il vous faut envisager une reconversion.
      Mais il me semble que le changement d’entreprise serait un plus. Vous avez 27 ans, donc toute la vie devant vous. Il ne faut pas hésiter à changer d’emploi quand vous n’êtes pas bien quelque part.
      Je viens d’aider quelqu’un de 50 ans à changer d’entreprise, et en plus il est mieux payé!
      Donc, tout est possible quand on est bien encadré et qu’on suit une bonne stratégie.
      Profitez de vos dix jours pour prendre rendez-vous avec moi, nous en discuterons par Skype et je pourrais vous aider à prendre la bonne direction . Vous pouvez prendre directement rendez-vous su le site à la page  » Mes services » .
      À très vite! Et reprenez courage! Rien n’est perdu, la vie vous appartient!

  • Phil

    Bonjour, je travaille dans la jardinerie depuis presque 15 ans. J’ai un BTS technico commercial en commercialisation de végétaux et jaime les plantes, l’univers du jardin et le contact avec les clients. Jai fait plusieurs societes en me disant a chaque fois que ce serait mieux mais toujours les mêmes problèmes c a dire manque de personnel, heures sup non payees, tensions entre collègues par stress et fatigue surtout au printemps, manque de temps pour entretenir le rayon et du coup arrivé irritable, agacé au boulot comme a la maison. Que puis je faire? Aller encore ailleurs au risque de retrouver les memes conditions? Je perds confiance en moi et a chaque fois face au manque deffectif recurant dans laa grande distribution je suis complètement noyé par la montagne de choses a faire en perdant de vue l objectif premier qui m.interesse dans le.commerce c.a dire accompagner le client. Jai travailler dans une grande enseigne, une jardinerie dun hypermarché et une jardinerie de proximité en milieu riral. Que faire? Je me supporte plus et suis a deux doigts du burnt.out

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonjour Phil,
      Au vu de ce qui vous arrive, et si vous avez fait le tour de toutes les cibles potentielles de votre métier en rencontrant toujours les mêmes difficultés, je dirais qu’il vous faut envisager une reconversion.
      En utilisant toujours votre amour pour les plantes et votre intérêt pour le conseil à la clientèle, je vois déjà deux métiers qui me sautent aux yeux, en première intention, mais il y en a sûrement d’autres.
      Je pense évidemment à fleuriste, ou encore paysagiste.
      Y avez-vous réfléchi? Bien sûr, il vous faudrait faire une formation mais rien d’impossible à cela, bien au contraire. Mais il vous faut d’abord vous poser et réfléchir à votre projet de vie.
      Je vous propose d’en discuter ensemble et de vous aider à trouver ce qui vous conviendrait et à le mettre en oeuvre.
      Je vous laisse prendre rendez-vous sur le calendrier à la page  » mes services ». Nous pourrons avoir une première conversation gratuite par skype ou téléphone dans un premier temps.
      A très bientôt! Et ne désespérez pas, les solutions existent. Il suffit de prendre les bonnes décisions.

  • sevrine

    Bonjour , voilà je partage avec vous mon expérience autant que cc, j’ai un bon salaire, mais pas d’évolution, je n’ai vraiment ras le bol, je n’ai plus de forces ni d’énergies pour avancer …

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonsoir Séverine,
      Commencez par vous arrêter. Et profitez de ce congé pour reprendre de l’énergie, faire le point et prendre des décisions. Vous réfléchirez beaucoup mieux et retrouverez le courage de poser des actions une fois reposée. La médecine du travail ou votre médecin de famille peuvent vous arrêter pour épuisement professionnel si vous n’avez plus de congés disponibles à poser.
      Au pire, demandez un congé sabbatique ou un congé sans solde.
      L’urgence et l’importance dans votre situation c’est d’abord de reprendre des forces!
      Vous pouvez prendre un rendez-vous avec moi, nous discuterons de votre situation et réfléchirons aux solutions possibles ensemble …
      A bientôt !

  • Effervescence

    Moi je suis promoteur des ventes et je suis démotivée j’en n’ai marre de mon salaire
    qui est seulement de 350€ par mois à cause de ça je ne peut pas prendre mon envole j’ai 25 ans et je vie toujours chez mes parents je suis démotive j’ai envie de tout plaqué et recommencer ma vie à zéro est ce que je dois le faire maintenant ou en décembre quand mon contrat sera terminé???

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonsoir Effervescence,
      Je comprends qu’avec un  » salaire  » de 350 euros ( ?!? Comment est-ce possible, avec un smic à 1200 euros? ) vous soyez démotivé!
      Par contre, si vous  » plaquez tout » avant la fin de votre contrat, l’employeur est en droit de vous attaquer aux prud’hommes. A condition que votre contrat soit légal, car votre « salaire » ne me paraît pas en être un. Êtes-vous stagiaire?
      Dans ce cas, il ne s’agit pas d’un salaire mais d’une sorte de dédommagement, car de l’autre côté vous apprenez un métier, vous n’êtes pas opérationnel.
      Dans ce cas, il faut que vous patientiez jusqu’à avoir appris votre métier pour prendre votre envol, c’est normal que vous ne soyez pas vraiment rémunéré comme un salarié déjà formé!
      Si ce n’est pas le cas, ça m’a tout l’air d’une arnaque. Auquel cas, partez dès que vous trouvez autre chose!

  • Nicolas

    Bonjour, me concernant j’ai l’impression d’être complètement perdu dans mon travail.
    Voilà 3 ans que je travaille dans l’industrie sur un poste de cadre ingénieur (sans responsabilité hiérarchique auprès de mes collaborateurs).
    Mes précédentes expériences professionnelles se sont toujours très bien passées, les projets étaient clairement définis, soutien total de la Direction dans les objectifs et dans les prises de fonctions. Là j’ai l’impression que je navigue à contre courant, que je fais des erreurs que je ne devrais pas faire, et surtout que j’ai des objectifs totalement inateinagnables. Je suis le seul salarié qui a un objectif et qui n’est pas chef de service, le tout sans avoir aucun pouvoir hiérarchique, aucun soutien de personne et aucune solution technique viable.
    J’aime mon travail, mais l’ambiance, les objectifs fixés, le contexte fait que je perds de plus en plus cette motivation au point de me poser des questions sur mes compétences.
    Démissionner? Faire face? Me reconvertir?….autant de questions alors que je n’ai que 27 ans et 4 ans d’expérience dans mon métier

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonsoir Nicolas,
      Je crois que nous devrions en discuter ensemble, pour vous aider à éclaircir la situation. En effet, il faut que je connaisse les tenants et aboutissants afin de pouvoir vous aider. J’ai plein de questions à vous poser.
      Par exemple, quand est-ce que cette situation a démarré ? Est-ce suite à une réorganisation ou à une promotion? Selon vous, est-ce dû au fait que vous ayez maintenant une responsabilité, ou alors à l’absence de directive précisé au dessus de vous?
      Avez-vous simplement pensé à changer de service dans un premier temps, ou tout au moins d’en parler à votre n+1 ? Vous pouvez me contacter sur le formulaire de contact pour prendre un rendez-vous. Nous pourrons discuter par Skype, je vous aiderai à y voir plus clair.
      A très bientôt,
      Isabelle

  • nopynop

    Le travail en salarié, c’est l’esclavage. Malmené par des chefs incompétents, c’est l’ancienneté qui compte, après des années, tu auras double ration de miettes. Moins vous faites de vagues, mieux c’est. Plus vous lécher, plus ils se sentent puissants, mieux c’est. La seule leçon de survie en entreprise, c’est la hiérarchie monarchique, ton chef est le roi et ton cahier de doléance ta tombe, ne l’écrit jamais, ne le montre jamais. Ne soit pas bon, tu resterais à ton poste jusque tard le soir sans évoluer, les toiles d’araignées et les cernes en plus. Soit leurs admirateurs qui leur montre combien ils sont merveilleux. Il y a toujours une sorcière à brûler pour eux, ne soit pas celle-la. Ne soit pas compétent, soit ponctuel seulement, c’est bien plus important pour leur image. Ferme les yeux sur leurs magouilles et fais ton rôle de fusible pour les protéger, ne te grille pas, la solution merdique qu’ils t’ont concocter moyennant dessous de tables est la meilleur pour eux comme pour toi, surtout pour toi qui ne voudrai pas te faire virer à coup de tu ne sais rien faire, t’es nul. N’espère pas un centime pour cela, ni pour les heures supplémentaires chaque semaine. Ils ont besoin de toi le dimanche, pas le choix, tu récupéreras ta journée lundi ou mardi, allez tu as le choix du jour de recupération, remercie les.
    Le seul conseil valable : travail à côté pour toi et monte ton affaire. C’est difficile mais pas autant que d’être victime de dissonance cognitive dans 10 ou 20 ans quand tu te rendras compte à quel point tu as été à côté de la plaque à les servir en roi en espérant qu’ils te jettent des miettes.

  • aude

    Du temps qui court c’est compliqué. Je vous explique mon parcours actuelle : j’ai 24 ans cela ne fait que 2 ans que je suis dans le monde du travail a la base j’ai fait une formation diplômante dans l’horticulture (production de fleur et légumes) concrètement y a pas de travail. Du coup je travail en plonge dans un restaurant en collectivités dans une grande société, etant à 20h j’ai demandé un 35h « refuser » j’ai demandé à ce que mon poste soit mieux aménagée car à moi toute seule je me tape 2 postes donc physiquement sa devient compliqué « refusé » cela fait quelques mois ou c’est un ras-le-bol complet en sachant que derrière j’ai encore 2 emploi vu que mes chef non pas voulu me mettre en 35h. Je ne sais plus quoi faire malheureusement…

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonjour Aude!
      Je comprends votre ras-le-bol. Vous n’êtes pas loin de l’épuisement professionnel. Le surmenage allié à l’absence de reconnaissance, sans compter le manque de rémunération vous mettent en danger.
      Ne restez pas dans cette situation. Puisqu’il n’y a moyen de rien en demandant gentiment, faites valoir vos droits. Les mi-temps par exemple, sont désormais de 24 heures et ne doivent pas être imposés mais choisis. À partir du moment où il y a du travail pour deux personnes et que vous le demandez, vous êtes en droit d’obtenir un plein temps. Apparemment, il s’agit d’une grande entreprise. Donc, allez voir les représentants du personnel pour leur expliquer votre cas, et consultez la médecine du travail. Les deux devraient vous aider à obtenir vos droits. Si ce n’est pas suffisant, contactez l’inspection du travail. Si rien n’y fait, alors, partez.
      Commencez par vous mettre en maladie, ils comprendront qu’ils ont besoin de vous.
      Et commencez à chercher un autre travail dès maintenant, car il est fort possible que, malgré vos démarches, et vue la mentalité de la maison, vous soyiez mieux ailleurs…
      En attendant, commencez par aller voir vos recours légaux que sont les représentants du personnel ( la liste doit être affichée dans le local du personnel, légalement) et demandez un rdv à la médecine du travail, c’est tout à fait votre droit!
      Bon courage, et n’hésitez pas à me recontacter et à me tenir au courant…

  • AUDREY

    Et bien je vois que je ne suis pas la seule qui ne supporte plus son job (travail en lui même, collègues, ambiance…), secrétaire dans le secteur privé (14 ans), depuis 2 ans s’est opéré un changement dans mes tâches, en effet désormais je ne suis qu’une opératrice de saisie de pointages et gestions des fiches congés…. Plus aucune perspective de progression autant en salaire qu’en travail en lui même.

    J’ai 42 ans et je me dis que je ne peux pas continuer 22 ans encore comme ça, j’ai l’impression d’être lobotomisée, que je perd mon temps au travail.

    Problème je ne peux pas démissionner car je suis mère célibataire et j’ai besoin de savoir où je vais avant de tout lâcher!

    J’ai fais un bilan de compétences: je sais que je ne suis pas faite pour ce job, je sais ce que je ne veux plus, par contre je ne trouve pas ma voie….

    Comment faire? En France on a l’impression d’être aussi coincé par les « diplômes » qu’on est mis dans des cases et qu’on ne peut en sortir ou bien difficilement… Pour tant je suis devenue secrétaire pas par le biais de mes études mais par des gens qui m’ont fait confiance.
    Mais aujourd’hui j’ai l’impression que cela n’est plus possible.

    Votre point de vue?

    Merci

    AUDREY

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonsoir Audrey!
      Effectivement, il est bien difficile, en France, de sortir des cases et des étiquettes. Les employeurs sont terriblement frileux et ont besoin d’être rassurés. Du coup, ils cherchent des labels qui pensent-ils vont leur assurer la qualité, comme les poulets de Loué ou le Produit de l’Année. Bien sûr, si les diplômes suffisaient à rendre quelqu’un compétent, ça se saurait. Donc, en plus, ils veulent la sacro-sainte  » expérience  » qui va leur certifier croient-ils , l’immédiate employabilité de la personne. Parce que bien, sûr, on ne va pas perdre du temps à la former, les autres n’ont qu’à le faire.
      Dans ce contexte, il faut donc, non pas forcément essayer de coller à ce que pensent vouloir les employeurs, car il leur manquera toujours quelque chose; mais plutôt garder à l’esprit qu’il faut les rassurer, voire les épater.
      Pour cela, il me semble déjà que vous avez une qualité à mettre en avant: le fait que vous avez évolué parce que vos employeurs ont su déceler en vous vos capacités d’adaptation et votre potentiel. Quelque part, quand vous avez été « tamponnée » par un pair, c’est très rassurant pour un employeur.
      Ceci pourrait ētre valorisé avec une V.A.E., ( validation des acquis de l’expérience) si vous souhaitiez vous servir de vos compétences précédentes dans votre futur projet.
      Vous avez fait le premier pas avec le Bilan de Compétences. La suite, c’est un travail sur le projet professionnel que vous ne pouvez effectuer qu’auprès d’un coach spécialisé ou psychologue du travail privé. Il n’existe pas de prestation de ce type pour les salariés, uniquement pour les demandeurs d’emploi. On peut par contre tenter un financement par le CPF, mais il ne faut pas trop rēver sur ce plan pour l’instant.
      Pour pouvoir travailler sur votre projet professionnel, il va falloir travailler à partir de vos goûts, centre d’intérêts, aptitudes et compétences, pour explorer dans le réel les différentes possibilités, élargir le champ des possibles, puis resserer en entonnoir. Enfin, quand vous aurez trouvé votre voie, mesurer l’écart de compétences avec le projet souhaité et lancer un CIF pour vous former.
      Vous pouvez trouver nombre de coachs-carrière sur internet ou près de chez vous qui pourront vous aider à faire ce travail. Nous pouvons également travailler ensemble, si vous le souhaitez.
      A vous de voir! En tous cas, ne renoncez pas à chercher votre voie parce qu’il n’y a pas encore de congés spécifiques!
      Personnellement, c’est parce que je sais bien que le Bilan de Compétences n’est qu’un début que j’ai créé la prestation d’accompagnement spécialisée au projet professionnel.
      Bon courage et à très bientôt, peut-être! 🙂

  • Fred

    Bonjour,
    Pour trouver les meilleures entreprises dans lequel vous avez de grande chance de trouver un job intéressant et épanouissant, les sites de notation sont une bonne solution. Je pense notamment au site http://www.enjoymonday.com dont le design est particulièrement réussi. Le principe est simple : de façon anonyme, les salariés notent leurs employeurs selon 5 critères (l’évolution de carrière, la rémunération, l’équilibre travail-vie privée, l’ambiance de travail et la reconnaissance). Une façon simple de prendre la température de l’intérieur de l’entreprise afin de sélectionner les entreprises où postuler.
    Fred

  • TAVIN

    bonjour, c’est ici le formulaire de contact? Je n’ai pas trouve d’autre endroit sur votre site pour poser « MA » question qui en contient je pense plusieurs vous me donnerez peut-etre votre avis
    je suis dans une démarche de ré-orientation professionnelle après 10 ans dans l’assistanat, qui est devenu mon metier par nécessite pour payer mes factures.
    Aujourd »hui je m’intéresse aux différents types de soins non medicamenteux ou « non conventionnel » chacun a sa définition, tels que la sophrologie, la reflexologie, l’ hypnose, la PNL
    Je me suis renseigné sur les écoles qui les enseignent et ai la chance de pouvoir les financer moi meme.
    Apres un arret de travail de quasiment 2 mois je m’apprete a y retourner lundi 6 janvier et à demander un temps de travail encore plus reduit que celui que j’ai déjà ( passer de 80 à 60%)
    si cette demande n’est pas validée par mon entreprise j’aimerai lui demander une ou plusieurs formations en CIF ou DIF mais je ne sais pas dans quel ordre il est preferable de formuleer mes demandes surtout que toutes les formations qui ne sont pas reconnu par l’état ont peu de chances d’aboutir( d’où ma demande de 60% pour les faire sur mon temps libre sans avoir a m’expliquer)
    Les deux seules qui à mon sens peuvent se defendre en entreprise ( je travaille chez ericsson) sont la création d’un blog ou site internet et la PNL mais cette derniere n’est pas reconnu par grand monde.

    voilà ma situation aujourd’hui je pense qu’un entretien d’une heure dans un premier temps ne serait pas superflu…

    merci par avance pour votre retour sur ces points
    Lucie

    • Isabelle BelleIsa

      Bonjour Lucie,

      En effet, les formations dans les thérapies alternatives que vous envisagez ont peu de chance d’être financées par le CIF, sauf si vous trouvez un organismes agréé, tel qu’ une université par exemple, ou l’Afpa, qui regrouperait plusieurs de ces formations.

      Le CIF étant destiné prioritairement à des formations longues, qualifiantes et/ ou diplômantes, c’est à dire qui vous font monter en niveau de qualification. Le DiF par contre, est destiné à des formations courtes ( 120h maxi) qui permettent d’acquérir des compétences complémentaires. Il serait approprié pour une formation pnl par exemple.
      Le DIF étant amené à disparaitre rapidement au profit du CPF qui ne se mettra pas en place tout de suite, utilisez-le avant qu’il soit trop tard. Mais utilisez-le à bon escient. Comment la PNL s’intègre t’elle dans votre intérêt pour les thérapies alternatives par exemple?

      Par ailleurs, si vous envisagez une formation longue et à plein temps, vous pouvez tout de même demander le bénéfice du Congé Individuel de Formation, et financer votre formation vous même. Vous bénéficierez du temps et de l’allocation de formation même si le Fongécif refuse de vous financer le coût de la formation. Bien sûr, dans tous les cas, il faut que votre employeur et l’Opacif de votre entreprise soient d’accord.
      Sachez encore que la demande de DIF est plus rapide que celle de CIF. La réponse doit être obtenue dans le mois qui suit la demande pour le DIF, tandis que le CIF doit se faire au moins 4 mois avant l’entrée en formation.

      Mais quel est votre projet professionnel? Avez-vous fini de le construire? En fonction de celui-ci, il sera plus pertinent de faire telle ou telle formation en premier, ou de définir si le DIf ou le CIf sont pertinents pour vous.
      Si vous souhaitez que nous en discutions en entretien, envoyez-moi vos coordonnées Skype, mail et/ou téléphoniques, ainsi que vos disponibilités sur le formulaire de contact qui se trouve sur la page  » contac et mentions légales » , elles ne seront ainsi pas visibles par les autres lecteurs.

      Merci!
      Bon courage pour votre reprise et à très bientôt!
      🙂
      Isabelle

  • lufan

    Bonjour,

    J’ai 35 ans, 12 ans d’ancienneté dans la boite où je suis et je ne supporte plus mon boulot. Tout m’insupporte, le travail en lui même, l’ambiance, l’état d’esprit, mes collègues lèche c***

    J’aimerais changer de vie mais à force d’entendre dire « mais tu te rends compte tu as 2 enfants quand même, tu as la sécurité de l’emploi et il y a des avantages ici que tu n’auras pas ailleurs…. Je sais que je prendrais des risques mais on a qu’une vie et si c’est pour la sécurité de l’emploi que je dois finir dépressive et bien je préfère encore démissionner et ne pas avoir de chômage.
    J’ai mon projet de création qui me prends du temps mais j’ai tellement envie d’essayer que ça m’en rends malade. J’ai peur, peur de me tromper et de donner raison à ces gens, peur de ne pas m’en sortir financièrement (déjà que ce n’est pas facile en étant seule avec 2 enfants) de nous mettre en danger mes enfants et moi mais comme on dit qui ne tente rien a rien!!! J’ai envie de me sentir mieux de faire quelque chose qui me plait, profiter de mes enfants car actuellement je travaille à 2h de chez moi quand il n’y a pas de pb de transport. J’ai demandé à passer à 85% pour profiter un peu plus de mes enfants le mercredi et tous les soir je suis dégoutée rien qu’en pensant au lendemain, en pensant au transport et au travail. Je ne sais plus quoi faire je me sens complètement perdu, j’en ai juste marre de ma vie VDM.

    • Isabelle BelleIsa

      Bonjour,chère Lufan,
      Je comprends votre désarroi et votre désespoir. Vous êtes certainement épuisée par vos deux heures de transports matin et soir et l’ambiance mortifère de votre travail. Vous êtes sans doute proche de faire un burn-out ou une dépression. Vous avez vraiment eu raison de demander un temps partiel! Un congé vous ferait sans doute encore plus de bien… Envisagez même le congé maladie sans honte dans l’état dans lequel vous êtes! En tout cas, il vaudrait mieux que vous fassiez une pause avant de craquer complètement, et de ne plus être en état du tout d’assurer sur tous les fronts.
      En tous cas, ne vous laissez pas influencer par votre entourage, ils ne sont pas à votre place, et ne subissent pas ce que vous subissez. Vous n’allez pas mourir à petits feux jusqu’à la retraite pour nourrir vos enfants!
      C’est toujours le même refrain quand on veut quitter son job, surtout pour se mettre à son compte! Tous les créateurs d’entreprise ont entendu la même chanson, et tous ceux qui ont voulu quitter leur boulot aussi! Ça ne les a pas empêcher de réussir… Les vents contraires et le harcèlement des proches sont les premiers obstacles que tous ceux qui veulent sortir de la norme ont à affronter!
      Par contre , bien sûr, comme vous avez des enfants vous n’allez pas claquer la porte au nez de votre patron tant que vous n’avez pas bien avancé dans votre projet. Mais vous avez besoin de temps et d’énergie pour vous y consacrer!
      Savez-vous qu’il existe le congé de création d’entreprise à temps partiel qui pourrait correspondre à votre situation?
      Demandez vite à vos RH si vous répondez aux conditions et si vous y avez bien droit, cela pourrait sauver votre projet!
      Tenez-moi au courant et dites-moi ce que vous envisagez comme création d’entreprise….
      Courage! Refaites-vous une santé et reprenez les rênes! Vos enfants seront fiers de vous et votre entourage aussi quand vous aurez réussi! À très bientôt, n’abandonnez pas!
      Bien amicalement,
      Isabelle