8432880-bureaucrat--a-businessman-juggling-documents-as-a-magicianVous en avez marre de votre boulot? De votre chef tyrannique et de vos collègues mesquins, qui vous tendent des chausses-trappes derrière des sourires hypocrites ?

Perdre sa vie à la gagner, est-ce vraiment une bonne idée?

Cela fait des années que ça ne va plus.

Que vous allez au boulot la boule au ventre et en traînant les pieds. Que les vacances ne suffisent plus à vous reposer et que vous êtes épuisé dès la rentrée. Vous voudriez bien changer de vie, mais vous ne savez pas comment faire. Et puis, avec tout ce chômage et les traites de la maison à payer, les études des enfants, vous n’allez tout de même pas démissionner… Et puis, si l’herbe était plus verte ailleurs, ça se saurait… Et si je vous disais que vous vous trompez?

Que, non seulement, des solutions existent mais que vous aussi, vous pouvez changer de vie, comme moi et comme des milliers d’autres personnes avant vous. Et pas avec des méthodes miracles pour devenir riches du jour au lendemain sans rien faire, non, mais avec des moyens réels, concrets et légaux auxquels vous avez droit?

Et bien si, c’est possible.

Vous voulez vous en sortir en trouvant des solutions concrètes et construire un projet viable et épanouissant? Trouver enfin un équilibre dans votre vie, et ne plus la perdre à la gagner? Vous êtes au bon endroit!

Vous en avez assez de travailler pour des imbéciles, qui vous traitent de haut alors qu’ils ne valent pas mieux que vous .
Marre des transports en communs et de leurs grèves, marre des embouteillages et du temps perdu.

Marre de la pression de folie, de l’impression de n’avoir jamais terminé son boulot, de travailler pour rien, que vous perdez votre vie à vous agiter dans le vide.

Assez de vous épuiser pour un salaire qui n’en vaut pas le coup, d’avoir du mal à boucler vos fins de mois sans jamais apercevoir d’augmentation .
De ne pas être reconnu à votre juste valeur et de voir vos efforts jamais récompensés.

Marre de vous lever avant le jour et de rentrer après le coucher du soleil, d’à peine apercevoir vos enfants, de passer vos nuits à essayer d’oublier vos soucis pour pouvoir dormir, et finalement de commencer à vous détendre quand le réveil sonne.

Assez de n’aspirer voir arriver les week-ends et les vacances, que pour les voir passer à toutes vitesse .
Et de ne même pas avoir pu en profiter car vous avez passé votre temps à tenter de récupérer.

Vous croyez qu’il n’y a pas de solutions et que  «c’est la vie» ? Qu’il faut bien travailler pour vivre, donc  » avoir un emploi »?

Vous pensez que vous avez déjà de la chance d’avoir du travail par les temps qui courent et qu’il ne faut pas vous plaindre ?
Qu’avec les enfants et les crédits à rembourser vous n’avez pas le choix?

Et bien, bonne nouvelle, vous avez tort! 😉

S’en sortir, c’est possible, je l’ai fait !

 Et des milliers d’autres personnes aussi !
Supporter votre boulot actuel et vivre un véritable enfer n’est pas obligatoire, vous POUVEZ EN CHANGER!

Et vous DEVEZ le faire, même, avant qu’il soit trop tard, avant que l’usure ne vous gagne et que vous fassiez une dépression ou un burn-out, comme moi, ou que de toute façon vous finissiez par vous faire virer parce que vous n’êtes plus aussi performant que quand on vous a embauché, ou juste parce qu’on n’a plus besoin de vous ! Vous croyez qu’en vous accrochant à cet emploi comme une moule à son rocher vous allez le garder ? Même pas, ce n’est pas la reconnaissance qui étouffe les employeurs actuellement. Quand vous serez bon à jeter parce que vous êtes usé, on vous jetera, tout simplement. Et au mieux – au pire ?- si par un miracle étrange vous arriviez à garder votre emploi jusqu’à votre hypothétique retraite, vous serez aigri de ne pas avoir fait ce que vous vouliez de votre vie. Si vous ne faites pas un cancer, un AVC ou une crise cardiaque avant,  à vous être démoli la santé comme ça toute votre vie.

Il est tant de relever la tête et prendre votre destin en main!

Si vous voulez vous aussi Changer de vie, de travail et envoyer valser votre esclavage, 

Vous trouverez sur ce blog toutes les mesures et stratégies utiles pour vous en sortir.

Et je vous aiderai à trouver les solutions qui vous conviennent, et à reconstruire votre vie à partir de ce qui vous va vraiment, pas de ce qu’on a choisi pour vous.

et vous pourrez retrouver confiance en vous et en vos capacités, pour trouver vos propres solutions et RETROUVER VOTRE LIBERTÉ.

Alors à bientôt, sur Marre du Boulot. Com!

marreduboulot4-corrigé-fox

marreduboulot4-corrigé-text


Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

112 commentaires sur “Changez de Vie, Changez de Job

  • Papa

    Bonjour a toutes et à tous,

    J’ai besoin de conseils, d’éclaircissements svp.
    J’ai 46 ans, en CDI dans une multinationale depuis 8 ans, mais depuis 2020 plus de motivations, je suis arrivé à saturation, salaire de misère , gros loyer depuis 1 ans, des charges, il ne me reste plus rien après avoir payé le loyer, le pass Navigo et les charges, j’ai deux enfants dont une au collège privé qui est payant bien entendu.
    Je me prive de manger au travail et souvent le soir en rentrant. Aucune perspective d’avenir car je survie ce n’est plus une vie. Aucune évolution possible car mon manager a toujours fait en sorte qu’on aille pas se mélanger avec d’autres personnes dans l’entreprise, donc aucun échange possible car vous savez très bien que c’est par piston ou par de bouche a oreille que l’on monte les échelons. J’avais passé trois entretiens pour un bon poste il y a 4 ans tout ça pour qu’au final on me dise que je n’ai pas les qualités managériales… Une jeune femme a été recruté a la place externe a l’entreprise et bonne connaissance du responsable de ce service….
    Bref je me dis après toutes ces années qu’est ce que j’ai au final ? Rien. J’en ai marre , me taper plus de 1h aller 1h30 retour chaque jour, filer beaucoup de jours de télétravail a certains privilégié et moi juste 1 seul par semaine . J’arrive à saturation. Je voulais tellement changer de cap et gagner au moins 3 fois mon salaire par mois pour que mes enfants ne manquent de rien. Je ne suis pas fier de moi loin de là…..
    Merci beaucoup pour votre attention.

  • Marre

    Bonjour a toutes et à tous,

    J’ai besoin de conseils, d’éclaircissements svp.
    J’ai 46 ans, en CDI dans une multinationale depuis 8 ans, mais depuis 2020 plus de motivations, je suis arrivé à saturation, salaire de misère , gros loyer depuis 1 ans, des charges, il ne me reste plus rien après avoir payé le loyer, le pass Navigo et les charges, j’ai deux enfants dont une au collège privé qui est payant bien entendu.
    Je me prive de manger au travail et souvent le soir en rentrant. Aucune perspective d’avenir car je survie ce n’est plus une vie. Aucune évolution possible car mon manager a toujours fait en sorte qu’on aille pas se mélanger avec d’autres personnes dans l’entreprise, donc aucun échange possible car vous savez très bien que c’est par piston ou par de bouche a oreille que l’on monte les échelons. J’avais passé trois entretiens pour un bon poste il y a 4 ans tout ça pour qu’au final on me dise que je n’ai pas les qualités managériales… Une jeune femme a été recruté a la place externe a l’entreprise et bonne connaissance du responsable de ce service….
    Bref je me dis après toutes ces années qu’est ce que j’ai au final ? Rien. J’en ai marre , me taper plus de 1h aller 1h30 retour chaque jour, filer beaucoup de jours de télétravail a certains privilégié et moi juste 1 seul par semaine . J’arrive à saturation. Je voulais tellement changer de cap et gagner au moins 3 fois mon salaire par mois pour que mes enfants ne manquent de rien. Je ne suis pas fier de moi loin de là…..
    Merci beaucoup pour votre attention.
    Un papa qui en a marre.

  • Accroc

    Bonjour j’ai 55 ans j’ai plus de boulot depuis 2019 en fin de droit je touche 500 euros d’ass de pôle emploi je viens de tomber malade avec pose de 3 stent comme j’ai pas travailler dans les 3 ans mon arrêt maladie ne sera pas payé pôle emploi ne me paye pas non plus car je suis en arrêt j’ai plus de ressources je peux plus rien payer comment faire pour avoir un peu de ressources je veux pas dépendre de quelqu’un (j’ai une petite amie qui gagne que 1400 e ) dois je en finir avec la vie je fais que pleurer quand je suis seul

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Philippe, je vous en prie, votre situation peut sembler désespérée, et les absurdités administratives de notre pays peuvent parfois nous pousser à croire que tout est perdu.
      Allez vite voir une assistante sociale, elles sont là pour ça! Des milliers d’aides, parfois inconnues, existent en France et qui ne sont bien souvent pas réclamées par leurs potentiels bénéficiaires, qui ne savent même pas y avoir droit! C’est à elles, de se battre pour votre dossier…Sans doute pouvez-vous prétendre à une allocation adulte handicapé, si votre opération ne vous permet plus de travailler. Redressez la tête! La vie n’est pas finie parce que le monde du travail vous a laissé pour compte! 55 ans, un peu jeune pour mourir, non? Vous avez une petite amie, donc quelqu’un qui vous aime… ne vaut-elle pas qu’on se batte pour elle? Redressez la tête, il existe bien d’autres manières de gagner sa vie que de « travailler » dans un monde du travail jeuniste et sans pitié. Faites face à votre situation d’urgence en allant voir les services sociaux, et ne vous laissez pas décourager par les refus. Puis mettez-vous en quête de comment vous aimeriez vivre, comment et où vous aimeriez exercer les talents qui sommeillent en vous… vous pouvez lire  » la semaine de 4 heures » de Tim Ferris, par exemple, bourré d’idées pour gagner de l’argent dans ce monde , en utilisant les nouveaux moyens .. et en voyageant en plus! Vous pouvez aussi envisager de partir à l’étranger. Dans certains pays, vous seriez un roi du monde avec seulement 500 euros par mois, et je suis sûre que vous y trouveriez plus facilement de quoi vous occuper… Cherchez, et vous trouverez! Ne restez plus coincé dans ce cadre dépressogène où vous vous êtes laissé enfermer. Et même ici, vous pouvez toujours vous rendre utile, même si ce n’est pas rémunérateur dans un premier temps, mais cela vous fera reprendre confiance en vous, et par la suite peut-être retrouver du travail! Courage, redressez-vous, et battez-vous, tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir…

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir, je comprends que cela semble ennuyeux de « travailler », si travail rime avec difficultés, désagréable, esclavage… comme l’origine du mot travail nous y ramène. Si ce que vous voyez comme exemples de « travail » n’est pas réjouissant, on peut prendre le mot dans son sens le plus large : une occupation qui permet de gagner sa vie. De là, on peut encore élargir la notion : faire quelque chose qui nous plait et qui est dans nos cordes. Il existe beaucoup de possibilités maintenant de faire quelque chose d’agréable, dans des conditions agréables, sans que cela ressemble au « métro-boulot-dodo » dont personne ne veut plus…
      Les influenceuses, les youtubeurs, les travailleurs-voyageurs, ces nouveaux métiers, tout comme les artistes, acteurs… sont des exemples de « travail » qui ne ressemblent pas à du travail : ils demandent quand même des efforts, mais ils sont plaisants à ceux qui les exercent! L’essentiel est de trouver quelque chose qui vous plait à vous. Vous pouvez lire un livre tel que  » la semaine de quatre heures » de Tim Ferris, pour vous donner des exemples de ces nouvelles façons de gagner sa vie. Comme disait un grand auteur :  » fait un travail qui te plait et tu n’auras plus jamais l’impression de travailler.:) Bonne recherche !

  • Thibault Paranier

    Bonsoir,

    Je m’appelle Thibault Paranier, je suis préparateur en pharmacie, j »ai 28 ans et j’ai intégré il y a 3 mois une nouvelle pharmacie dans le cadre d’un CDI dans un premier temps mais qui s’est transformé en CDD par rupture de la période d’essai en Juin suite à quelques erreurs. Ce CDD pourrait se transformer en CDI si tout se passe mieux mais je ne me sens pas à l’aise avec les méthodes de travail, les patients sont un peu trop exigeants et pas toujours tolérants, du coup ça met la pression, déjà que je suis anxieux de nature. J’ai l’impression de ne pas être à ma place dans ma pharmacie.

    Du coup, je cherche à changer de pharmacie pour être moins stressé et repartir du bon pied dans le cadre d’un autre CDI, mais seulement je ne sais pas quoi faire à cause de ma famille, d’autant que mon père qui est aussi préparateur en pharmacie cherche aussi un emploi en officine. En partant, je pourrais lui laisser ma place, où il connait le titulaire.

    Même si c’est une expérience comme une autre, je veux prendre les choses en main.

    Que dois-je faire ? Comment puis je arranger les choses ?

    Merci pour votre réponse

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Thibaut,
      je suis désolée de vous répondre si tard, je viens seulement de découvrir votre commentaire.
      Vous avez sans doute changé de situation entre temps, du moins je vous le souhaite. Vous avez raison de vouloir changer de travail si celui-ci ne vous convient pas.J’ai l’impression que vous faites le même métier que votre papa mais pas forcément par choix personnel. Si ce métier convient à votre père, tant mieux pour lui. Mais comme vous êtes quelqu’un d’anxieux de nature, les métiers du commerce ne semblent pas vous convenir: trop de gens et trop de stress. Vous pourriez rencontrer un coach en orientation professionnelle ou faire un bilan de compétences pour vous aider à mieux définir votre voie. Car malheureusement pour vous, vous risquer de retrouver les mêmes conditions de travail ailleurs. Bien que préparateur, dans les pharmacies d’aujourd’hui, tout le monde est amené à faire de la vente, à aller au comptoir servir les clients etc.
      Evidemment, vous êtes jeune et n’avez peut-être pas envie de reprendre des études maintenant. Mais vous pouvez pensez à modifier légèrement votre cible en partant de vos acquis. Où peut-on exercer ce métier ailleurs que dans une pharmacie? A l’hôpital,peut-être, en clinique vétérinaire, en herboristerie? Peut-être peut-on imaginer dériver vers un autre métier où vos connaissances de base pourraient être utiles? …A vous de chercher et d’élargir votre recherche. Vous pouvez aussi travailler sur votre anxiété avec un psy ou un coach…
      Bon courage et bonne recherche!

      • Thibault

        Bonsoir Isabelle,

        Désolé si je ne vous réponds que maintenant, je viens de lire votre message. Ma situation a changé, j’ai quitté la pharmacie dans laquelle j’étais avant, j’ai trouvé un CDD au dévoluy au mois de décembre pour la saison d’hiver jusqu’en mars dernier qui s’est très bien passé, après j’ai trouvé un CDI à aix en qualité de préparateur en pharmacie. Donc j’ai pu rebondir depuis.

  • Alice

    Bonjour,

    J’aimerai réellement changer de boulot, surtout actuellement.
    Je suis assistante aux directions dans un CH, et ma directrice c’est ma mère.
    L’on me dira tu n’as qu’à t’en prendre qu’à toi même. Mais actuellement trouver un boulot dans mon domaine, ce n’est pas simple surtout à temps plein.

    J’ai le sentiment de vivre un enfer, car elle surestime mes compétences. A ce jour, nous avons des instances, j’ai le sentiment de sans arrêt faire des erreurs car elle me demande trop et à tout moment. Je n’arrive pas à trouver le temps de faire tout ce que l’on me demande sachant que je dois gérer les temps de formations et école de chaque agents dans mes missions. Je dois aussi organiser le plan de formation tout au long de l’année et pour l’année N+1.

    Malgré certains congé de pris, j’ai le sentiment que cela devient de pire en pire.
    Je suis à deux doigts de vouloir me mettre en arrêt pour faire une réelle pause .. Me disant que j’ai juste besoin de me reposer,de faire une pause.
    Il faut savoir que je ne fais pas mes horaires, je commences plus tot tout en sachant que je terminerais plus tard. Et c’est bien le cas.
    Le soir, à la maison, je finis pas me mettre devant une série pour penser à autre chose, hors je finis par me coucher à 21h -car trop fatiguée- pour me lever à 6h30. Donc en soit, je fais une nuit de 9h, mais je me sens toujours fatiguée avec une grande crainte de commencer ma journée.

    Je me fiches de la reconnaissance, car je sais que je n’en aurais jamais.

    Car si j’arrête, que je démisionne, ma relation avec ma mère va encore plus se ternir. Je lui en ai déjà parler. En tant que Directrice, elle n’approuve pas. En tant que mère, elle est persuadée que je veuilles arrêter à la première difficulté. Cela fait un an et 6 mois que je suis dans ce CH. Je me garde pour moi tous les reproches de « mon incompétence » par autrui ou par ma hiérarchie. Cela me rend juste malade d’être encore moins soutenue par ma mère .. Seulement, si j’arrête ..Je ne sais pas où je pourrais trouver un travail dans mon périmètre et avec mon expérience comme mes diplômes..
    Je suis en pleine panique.. Et je n’ai qu’une envie, c’est de prendre mes affaires et de partir. Seulement, je n’y arrive pas.. à cause de la peur.

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Alice, il semble grand temps de vous arrêter d’une façon où d’une autre, car vous frisez le burn-out. Vous vivez dans la peur et dans le syndrôme de l’imposteur, tôt ou tard vous allez finir par craquer!
      Votre mère ne vous comprend pas, et bien tant pis. C’est votre vie à vous, votre vie professionnelle et même personnelle. Vous n’êtes pas son double et n’avez pas à suivre ses traces. Il faut que vous trouviez ce qui vous convient à vous. Mais vous ne pourrez le faire que quand vous aurez retrouvé un peu de sérénité et de lucidité. Sauvez-vous! Et vite! Commencez par un arrêt de travail, votre médecin vous l’accordera sans doute dès que vous lui exprimerez ce que vous venez de nous partager. Cela vous permettra de vous reposer et de prendre du recul.
      Ensuite, vous verrez quelles dispositions vous pourrez envisager pour ne plus travailler avec votre mère, déjà. Et puis, réfléchir à un emploi, métier, ou type d’entreprise qui vous conviendra mieux. Je peux vous accompagner dans cette réflexion si vous le souhaiter, en prenant rendez-vous avec moi sur Doctolib pour une consultation vidéo, nous en parlerons davantage.

      https://www.doctolib.fr/psychologue/vaugneray/isabelle-belledant-renard

      Apparemment, votre relation avec votre mère n’est pas au top et vous fait souffrir, vous avez besoin de vous en libérer. Vous verrez que plus tard, elle s’améliorera quand vous aurez trouvé votre propre chemin… Et cessez d’avoir peur, du boulot, il y en a, contrairement à ce qu’on tente sans cesse de nous faire croire pour que nous restions bien sagement dans nos emplois!
      N’hésitez pas, appelez-moi, je vous aiderai à vous en sortir. A bientôt!

  • Béné

    Bonjour
    Merci pour votre site très enrichissant 😉
    J’ai une question relative aux demandes de congé. Depuis quelques mois mes demandes sont acceptées mais sous conditions. Avis favorable de mon responsable mais « sous réserve du rendu des missions ». Cela arrive après un différend concernant une surcharge de travail que j’ai signalé. Est ce légal de mettre des réserves ainsi ? Et cela est fait uniquement à moi bien-sûr.
    Dans l’attente de votre réponse
    Cdt

  • Soso

    Bonsoir,
    Merci pour ce site qui me rassure. Je vous écris car j’ai l’impression que le travail que je fais est absurde.
    Je suis professeur dans une structure associative, mais j’ai la sensation que ce que je fais est totalement inutile et surtout qu’on se sert des élèves (adultes) pour faire plaisir à pôle-emploi en disant à ces gens « vous faites une formation en français/remise à niveau, c’est pour trouver du boulot » alors qu’en réalité, il n’en est rien. Ce genre d’association est une sorte de salle d’attente. Une salle d’attente de trois à quatre mois pour faire poireauter des pauvres gens qui n’ont rien demandé.

    J’ai des collègues plutôt sympathiques, mais parfois le comportement de certains est vraiment irritant.
    Rien n’est organisé, on remet la faute sur les professeurs, on fait le boulot de secrétaire, de gestionnaire, d’assistante sociale et de coordinateur pédagogique et ce, pour un salaire de misère. D’autres, plus anciens, se permettent de vous traiter comme des gosses, on ne vous explique rien, c’est à vous de tout faire en somme. Il n’y a aucune communication, comme si tout devait couler de source.
    J’ai l’impression d’être tombée bien bas. Mon contrat finit à la fin du mois et je ne souhaite pas continuer du tout. Je me sens un peu perdue en ce moment car je ne sais pas quoi faire. J’aimerais m’installer ailleurs. En revenant en France, je pensais que de travailler ici me rendrait plus contente et plus satisfaite car les gens sont sérieux, organisés. Mais il n’en n’est rien. Ça a été une grosse désillusion et je me sens totalement abandonnée. Je compte repartir dans le pays où j’étais, mais je ne sais pas encore quoi faire, car dans ce pays, j’étais mal et j’en avais aussi marre du mode de vie et des injustices, bien que je fusse à mon compte et contente de pas avoir de patron con sur le dos.
    Que pouvez-vous me conseiller ? Que puis-je faire ?

    J’attends un retour de votre part. Merci d’avoir pris le temps de me lire.

    Bien à vous !

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Sophie,je comprends votre désarroi, le retour en France est souvent très décevant après des années d’expatriation, d’autant que le contexte actuel est loin d’être enthousiasmant. Vous pouvez aller travailler ailleurs que dans l’associatif où il y a très peu de moyens. Il existe des possibilités dans le public ou le privé pour des professeurs de français. Ou retourner dans un autre pays. Ou bien est-ce juste une question de temps d’adaptation à la morosité et à la grisaille française! 😉
      Il est cependant difficile pour moi de vous conseiller efficacement sans avoir tous les éléments, j’aurais besoin de vous poser quelques questions et pouvoir discuter avec vous. Pouvons-nous avoir un entretien par Skype ou par téléphone? Je vous laisse me recontacter pour définir les modalités de cet entretien… À bientôt!

  • Nam

    Bonjour alors ben moi j ai tout fait pour changé de vie et pourquoi pour être déçue au final je m explique j étais caissière depuis des années dépression tentative de suicide et cela malgré un mari en or et 3 filles magnifique j ai réussi à quitté cet emploi pour faire une formation comme aide familiale un an de sacrifice pas de vie de famille des heures de stages de dingue et finalement un diplôme en poche et qui me sert à quoi à décorer mon mur avec une carte inami youpie qui ne me sert à rien et pourquoi parce que je vis en région flamande et que mon diplôme étant écrit en français je me vois toutes les portes ce fermée les unes derrières les autres on me répond simplement que je dois aller travallier en walonie ou à Bruxelles pourtant je me débrouille pas mal en néerlandais mais on ne me laisse aucune chance on m as envoyer postuler comme aide ménagère et résultat je fais des ménages depuis plus de deux ans déjà mon moral ne va pas bien mon boulot ne me satisfait pas mais tout le monde autour de moi me répond au moins t as du boulot accroche toi sauf que je me sens pas bien et incomprise génial non

    • Isabelle Belledant Renard

      Oui, je comprends votre déception, Nam. Votre histoire illustre bien le fait qu’une reconversion, ça s’etudie attentivement, en tenant compte de l’environdement. Si je comprends bien, vous êtes en Belgique en région flamande, et vous avez passé votre diplôme en France ou en région francophone ?
      N’y a-t-il pas possibilité de faire traduire votre diplôme, si c’est la langue du document qui gène? L’organisme qui vous l’a délivré ne peut-il vous en faire une version flamande? Car si c’est le seul frein pour retrouver un emploi pour vous, je suis sûre qu’il existe un moyen de le dépasser. Renseignez-vous auprès des organismes officiels, le cas oit être fréquent chez vous et je suis certaine que des procédures existent pour cela.
      Autrement, êtes-vous loin de la frontière française ? Car il y a du boulot chez nous dans ce domaine… Ou essayez auprès des particuliers ?
      Bon courage en tous cas, votre métier est un beau métier utile, accrochez-vous ! Vous allez finir par trouver!

  • RUCK Stéphane

    Bonjour
    Je suis très inquiet pour ma femme et je cherche des conseils et des conseilleurs pour l’aider à franchir le pas.
    Ça fait des années qu’elle est au bord de la rupture professionnelle et chaque année ça s’empire.
    Qui peut nous aider et nous orienter?

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Stephane, je peux aider votre épouse et vous-même, si vous le souhaitez. Je suis psychologue et coach professionnelle, ce genre de situation est ma spécialité. Nous pouvons travailler à distance si vous êtes loin. Pas de soucis. Voulez-vous prendre rendez-vous ? Je vous contacte sur votre adresse mail pour les détails, si vous en êtes d’accord. A bientôt !

  • Cathy

    Bonjour, j’ai besoin de parler et d’avoir des conseils de personnes objectives.

    Je suis électricienne indépendante et je travaille avec mon mari au sein de notre petite société, nous ne sommes que deux. Nous n’avons pas toujours été dans le bâtiment, il s’agit déjà d’une reconversion professionnelle. Nous avons tous deux un diplôme de master ( sciences industrielles)
    C’est en rénovant notre maison seuls que nous avons pris goût au travail manuel. Nous avons fait plein de formations et de cours pratiques, très motivés à l’idée d’en faire notre métier.
    Nous avons créé notre société en Octobre 2016.
    La première année, tout s’est bien passé, les gens étaient content de notre travail, nous y mettions tout notre cœur, le bouche-à-oreille a fonctionné très rapidement, nous ne manquions pas de client…
    La deuxième année, nous avons eu un premier client difficile, une personne très méfiante qui nous a surveillés de très près pendant les trois semaines de travaux chez lui, nous avons subi sans trop oser rien dire car nous n’avions rien à cacher, mais sa présence continuelle m’a beaucoup oppressé. Mis à part cela, il n’y pas eu d’autre problème avec ce monsieur.
    Deux semaines après la fin de ce chantier là, nous démarrons chez un autre client difficile: Aussi paranoïaque que le précédent et, en plus, celui-ci, en burn out professionnel, hurlait chaque fois qu’il lui ‘semblait’ que nous faisions une erreur même si il n’y avait pas du tout lieu de s’inquiéter. Il était si stressé qu’il a fini par faire une grosse crise et nous insulter car nous avons terminé une heure plus tard le dernier jour….
    Je suis sortie de là tremblante de la tête au pieds en état de choc.
    Le troisième client difficile nous a fait refaire toute son installation électrique alors qu’il habitait la maison avec sa femme et ses 3 enfants, une maison très encombrée, nous avons mis un temps fou à réaliser ce travail et le client a demandé plein de choses en plus. Durant la durée des travaux, il s’est toujours montré très sympathique et n’a fait aucun commentaire sur quoi que ce soit, il semblait très content de notre travail. Le jour venu de la fin des travaux, nous lui envoyons notre facture. Le lendemain, une lettre d’avocat nous signifiait 19 éléments de litige et un refus catégorique de payer quoi que ce soit.
    Ce fut le problème de trop, j’ai craqué, je ne savais plus rien faire d’autre que pleurer, j’ai appelé mon médecin en urgence tellement j’étais mal, il m’a donné des anti-dépresseurs, des calmants, des somnifères, m’a dit que j’étais en dépression et qu’il fallait que je me détache du travail tout de suite. Comme je suis plus capable de sortir de chez moi car, dès que je croise le regard de quelqu’un dans la rue, je me met à pleurer et ça ne s’arrête plus, j’ai bien dû laisser mon mari travailler seul…
    Je culpabilise à fond car il doit souffrir aussi et je ne suis plus capable de l’aider…
    Je ne sais pas comment ça va se passer quand j’irai mieux, mais je crois que nous ne sommes pas fait pour ce métier. Techniquement, nous n’avons aucun problème, mais nous ne savons pas comment nous défendre correctement face aux clients parano ou malhonnêtes…
    Merci de m’avoir lu.

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Cathy,
      Je comprends ce que vous ressentez vous êtes sous le choc car vous avez vécu ces clients difficiles comme des agressions sur votre personne. Vous réagissez comme la victime d’un traumatisme. Peut-être ces « agressions » ont-elles réveillé les douleurs de traumatismes plus anciens enfouis en vous. Il faut que vous consultiez un/une thérapeute spécialisé/e dans la gestion du stress post-traumatique, ou pratiquant l´emdr, par exemple.
      En ce qui concerne votre travail, vous verrez cela plus tard. La gestion des clients difficiles fait partie du travail d’independant ou d’une relation commerciale quelle qu’elle soit.
      N’en concluez pas que pas que vous n’êtes pas faite pour ce metier! Et surtout que votre mari non plus! Si finalement vous en concluez que vous n’etes Pas capable de gérer les clients difficiles, peut-être que lui, votre mari, l’est!
      Donc ne prenez aucune décision hâtive. Vous devez vous réparer et apprendre à dissocier le professionnel et l’affectif pour être moins atteinte par l’agressiVITE ET LA MECHancete de certaines personnes.
      Vous verrez à ce moment comment vous pouvez faire Avec votre mari pour gérer ce genre de situation ou si vous changez vous, de voix professionnelle à nouveau…

  • Anne

    Je crois que mon premier com n est pas parti donc rebonsoir Isabelle. Après 18 ans à travaillé au sein de la même boutique ( commerce centre ville) j ai eu une mutation obligatoire sur une autre de la même ville mais en centre commercial. Une ambiance, un cadre, des horaires auxquels malgré les efforts, je ne me fait pas. Alors que je prenais le train pour le rendre au travail avant, les horaires de centre commercial m obligent à prendre la voiture (82km aller retour) . Je rentre souvent donc très tard. bref, tout cela ne serait que minime si mon malaise n’était pas croissant. Beaucoup de fatigue physique et psychique du a une pression constante d obligation de résultats , peu d effectifs ( comme partout, je sais) .Je vais travailler la boule au ventre, ne mange plus le midi , envahie par le stress. Je crois que le divorce est acté entre le monde du commerce et moi. Je précise que j ai 46 ans. J ai été arrêté du 12 juin au 14 juillet pour nevralgie cervico brachiale avec mobilité de la tête réduite. J ai culpabiliser de cet arrêt. J ai eu à la suite mes 3 semaines de cp. J ai repris la semaine dernière et est toujours en attente de ma visite de reprise auprès de la médecine du travail, pas ou peu de consultation au mois d août. Malheureusement, avec la charge de travail en boutique au mois d août et l absence de la responsable, je ne me suis pas ménager et les douleurs reviennent de plus belle. Je vais faire une demande de rupture conventionnelle pour envie de reconversion mais j ai peur d un refus au vu de mon nombre d années dans l entreprise. Je ne vois plus le bout du tunnel. Il faut que ça s arrête. …

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Anne,
      Vous avez tout-à-fait le droit de quitter un emploi qui n’en vous convient pas. Et de vous arrêter quand vous êtes malade, d’autant plus si la maladie en question est causée par votre travail!
      Ne culpabilisez pas. Vous avez pris la bonne décision. Il faut vous arrêter, quitter cet emploi et en rechercher un autre.
      S’ils refusent la rupture conventionnelle, alors, mettez-vous en arrêt à nouveau. Ils seront bientôt très contents de pouvoir se débarrasser d’une employée qui est toujours malade!
      Et puis vous avez toujours la possibilité d’un congé sabbatique pour prendre le temps de vous remettre et de trouver un autre emploi ou une formation, par exemple. Ou encore de démissionner, et de faire valoir vos droits aux Assédics pour démission légitime en montrant les éléments qui vous ont fait vous arrêter.
      Vous pouvez aussi demander un bilan de compétences pour vous aider à réfléchir à quel autre emploi vous conviendrait mieux.
      Mais de grâce, ne vous laissez pas enfermer dans un travail qui vous détruit ! Vous avez le droit de choisir, tous les emplois ne se valent pas! D’accord, C’est important d’avoir un travail et de tout faire pour le garder mais pas quand il vous fait du mal.
      Perdre sa vie à la gagner, est-ce vraiment une bonne idée ?
      Donc, partez, peu importe de quelle manière, vous n’êtes pas prisonnière…
      Bon courage et bon vent! ( de liberté):)

  • TISSEUR SHEILA

    J’ai oublié de signaler que je ne dors pas bien . J’ai des engourdissements du visage . Je ne suis pas aussi productive qu’auparavent . S’il vous plait aidez-moi à prendre la bonne décision .

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Sheila,
      L’urgence est d’abord de vous mettre en arrêt maladie. Allez parler de tout cela à un médecin ou un psychiatre sensiblisé aux problèmes dû au travail. Vous êtes limite burn-out. il Faut vous arrêter Avant de ne plus etre capable de rien et pour longtemps.
      Et ce sera la seule manière, après un arrêt maladie de longue durée,( trois mois minimum) une visite médicale de reprise aura obligatoirement lieu ainsi qu’une négociation des conditions de travail de reprise. Ce n’est qu’ainsi que vous obtiendrez une amélioration.
      Pendant votre arrêt, allez parler à un/une psy spécialisée dans ces problématiques pour faire le’ point de comment vous en êtes arrivée là et d’en ce que vous voulez faire maintenant. Au bout de ces quelques mois d’arrêt et de réflexion, vous saurez mieux ce que vous avez a faire: reprendre ce travail ou en changer, et pour faire quoi et comment…
      Car rien ne vous oblige à rester là, une rupture conventionnelle est parfois bienvenue quand tout va mal entre soi et son job!
      Bon courage et contactez-moi si vous souhaitez que je vous aide dans votre réflexion !

  • TISSEUR SHEILA

    Je travaille dans un bureau avec 2 collègues ou tout se passe très bien .Depuis le 10 août ma responsable a décidé de me transférer vers un autre bureau avec 5 autres collègues qui ne me supporte pas. Elle est au courant de la situation mais fait semblant de ne pas comprendre . J’ai des problèmes de santé (hypertension, cardiopathie). Depuis le mois de mai 2018 j’ai des problèmes à la gorge après une grosse altercation avec un supérieur hiérarchique je n’ai pas de voix .La médecine du travail, l’inspection du travail, le CHSCT de l’entreprise a été alerté. J’ai aussi écrit à ma direction mais rien n’est pris en compte .Que me conseillez-vous ?

  • Majorczyk

    Bonsoir Isabelle,Je viens de lire tous les commentaires de mes concitoyens,navrant de constater que tant de personnes souffrent dans le monde de l’entreprise.Que faire pour s’en sortir ?Quels malins plaisirs peuvent ressentir des personnes du mal intentionnées vis à vis de leur collègues pour peu que la hiérarchie s’en mêle pour  »diviser pour mieux régner »et la c’est le début de la détresse morale de certains salariés avec les pathologies associées non reconnues par l’entreprise.On se retrouve seul face à soi même sans trouver d’issue ,sinon la démission au risque de retrouver la même situation ailleurs.Un vrai cercle visqueux.Ne perdons pas espoir et essayons de nous préserver de ces personnes malveillantes ,car nous voir nous effondrer font également partie de leur objectif.Ne leur laissons pas ce plaisir.

    • Michèle

      Sous l’emprise d’un patron manipulateur depuis de nombreuses années.Je suis exténuée psychiquement.Pas de dialogues possibles.Il a également des tendances de pervers narcissiques avec une certaine paranoïa.Il est le meilleur ,s’attribue les compliments alors que c’est l’équipe qui par son travail devrait être félicitée.Je dois faire preuve de beaucoup de courage pour l’affronter.Mais trop souvent encore il me désarme ,me déstabilise et éprouve du plaisir quand il fait pleurer les employés.Parfois il paraîtrait devenir sympathique,mais ce n’est qu’une illusion.Il adapte son comportement en fonction de ses éventuelles victimes.Faut il lui répondre,l’ignorer? Mais dans le monde du travail on est obligé de communiquer avec son patron.Lors des entretiens professionnels annuels : pas de promotion,pas de négociation de salaire,il décide de nos futurs postes dans nous concerter.Et si par malheur on émet une opinion divergente de la sienne,alors il nous culpabilise.Là je suis au point de tomber malade depréssive,ne peut pas changer de boulot vu mon âge et un métier très spécifique n’ayant pas de débouchés sur le marché actuel.J’attends vivement vos conseils pour sortir de cet engrenage infernal.

      • Isabelle Belledant Renard

        Bonsoir Michèle, je ne vous ai pas répondu tout de suite désolée, et j’espérais que peut-être d’autres vous donneraient des réponses aussi.
        Il n’y a malheureusement qu’une seule chose à faire avec ce genre de nuisibles, c’est de s’enfuir ou en tout cas s’en tenir le plus loin possible.
        S’il ne vous est pas du tout possible de partir, il faut vous protéger en faisant une bulle mentale autour de vous. Ça se pratique en sophrologie ou en méditation, en vous relaxant et en imaginant une bulle hermétique autour de vous, qui ne laisse entrer que ce qui est positif et fait rebondir le négatif. Bien sûr cela demande un peu de pratique. En tous cas, il faut prendre l’habiTude de considérer comme nul et non avenu tout ce qu’il vous dit. En mal comme en bien. Parce que c’est Comme ça qu’il vous manipule. En soufflant le chaud et le froid. Donc, plus rien ne doit rentrer qui vient de lui. C’est votre patron, point. Vous faites ce qu’il vous dit de faire et vous n’en avez rien à faire de ce qu’il vous dit . Il n’est ni votre père ni votre mari. Cessez d’y attacher de l’importance! Une fois que vous avez compris à qui vous avez affaire, c’est à dire une grosse crotte qui ne se prend pas pour de la m….., traitez-le comme il se doit. Tout ce qui vient de lui doit atterrir aux toilettes ou à la poubelle!
        C’est plus facile à dire qu’à faire mais si vous pensez à ça continuellement, ça finira par fonctionner.
        C’est quand même bien dommage que vous soyez au bord de la dépression à cause de lui! Prenez des congés, maladie ou autre, prenez du recul, et revenez en ayant appris à vous protéger.
        Et puis, par ailleurs êtes-vous sûre de ne pouvoir changer de travail? Avez-vous envisagé toutes les possibilités? Changer de service, aller dans une filiale, demander une mutation, faire une formation, demander autour de vous, etc. Réfléchissez bien, peut-être que cette conviction n’est qu’une croyance dûe à la négativité ambiante…

  • monso

    bonjour , voila je ne vais pas être original mais j’en ai marre de bosser vraiment !!! J’ai 54 ans je bosse depuis mes 18 ans ( 8 ans dans une boite et 28 dans celle ou je suis maintenant ).
    je ne peux même pas dire que je ne suis pas dans une mauvaise boite ni au niveau salaire ni conditions de travail ( me si ca se dégrade ) mais bon j’ai un boulot qui est ce qu’il est mais c’est même pas ca .
    je n’ai plus aucune motivation , je ne pense qu’à la retraite ( même si j’en suis loin ) et me lever le matin pour bosser est devenu une épreuve difficile chaque jour .Je ne vois pas de solution puisque à mon age c’est pas facile de changer de boulot et de toutes façons je ne trouverais pas forcément les mêmes conditions .Alors oui je me plains peut être et je devrais pas sûrement,mais j’en ai vraiment marre de chez marre .au secours !!!!

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Gilles,

      Il n’est pas anormal qu’une lassitude s’installe après aussi longtemps dans la même entreprise!Comparez cela à un vieux couple… Ce n’est pas qu’on ne s’aime plus, mais on a besoin de renouveau. Il est normal que vous ayez envie de changement. D’autant que vous êtes sans doute en crise de la cinquantaine!
      Pourquoi ne pas aller voir ailleurs ce qui se passe au lieu de vous censurer d’avance?( je ne parle pas de votre épouse, hein, mais de votre job! ;)) Qu’est-ce qui vous interdit de chercher un autre emploi tout en étant en poste? Vous n’avez rien à perdre, vous ne partez pas tant que vous n’avez pas trouver quelque chose de mieux, et ça fait toujours du bien d’aller passer des entretiens et de voir que d’autres employeurs vous font des propositions! Contrairement à ce que vous pensez, on peut retrouver du travail à cinquante ans, mes clients pourraient en témoigner. Mais à condition d’être en poste, car c’est plus long qu’à 30 ans!
      Et puis, vous avez peut-être tout simplement besoin de faire une pause. Pourquoi ne pas prendre un congé sabbatique pour faire un voyage ou en profiter pour monter votre boîte? Ou tout autre projet que vous avez mis de côté depuis longtemps? Ca vous ferait le plus grand bien et reviendriez en entreprise avec un nouveau regard et une nouvelle énergie. Ou vous ne reviendriez pas du tout parce que entre temps, vous aurez trouvé ce que vous avez envie de faire du reste de votre vie!
      Vous pouvez toujours faire un bilan de compétences pour réfléchir à tout cela, voir ce que vous pourriez envisager de faire d’autre, ne serait-ce qu’évoluer dans la même boîte, pourquoi pas?
      voilà. J’espère que ces quelques pistes vous auront redonné l’espoir.
      N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez que je vous aide à élaborer votre projet de changement de vie… 😉
      A bientôt!
      Bonne soirée
      Isabelle

  • Emilie Himmi

    Bonsoir,
    Je suis fairy_22, je vous avais contacté en juin 2016, suite à un emploi esclavagiste, un patron qui me prenait pour une moins que rien et de gros problème de couple, …
    Vous m aviez gentiment transmis votre numéro de téléphone.

    Malheureusement ma vie à mis sur mon chemin d autres tragédies qui m ont obligés a me mettre en arrêt maladie.
    Aujourd’hui le médecin conseiller veut que je reprenne le travail, mon employeur lui n est absolument pas pressé car en redressement judiciaire,
    Et moi je ne sais pas vraiment ce que je souhaite faire.
    Reprendre le travail mais sur un poste qui je le sais d avance ne me conviendra pas , démissionné mais plus de revenu, demandais un rupture conventionnelle, …

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Fairy,
      J’apprends des nouvelles peu fameuses de vous, mais ça fait toujours plaisir de savoir ce que deviennent les gens…
      Bon écoutez, évidemment le mieux que vous puissiez faire dans ce cas de figure, c’ets De demander une rupture conventionnelle à votre employeur évidemment, afin de pouvoir toucher indemnités de licenciement et chômage. Mais il ne voudra peut-être pas. Dans ce cas, voyez s’il ne peut pas au moins vous mettre en chômage technique puisqu’il est en redressement judiciaire, donc je suppose que l’activité est réduite, sinon inexistante.
      Sinon, attendez la fin du redressement judiciaire, car il est fort probable que du coup vous soyez tous licenciés. Mais je serais vous, je tenterais les deux autres avant. Car si jamais il n’a pas payé les cotisations chômage, vous n’en toucherez pas! Donc prenez les choses en mains, et tentez également de joindre le liquidateur si c’est possible pour savoir ce qu’il en est, ou bien l’inspection du travail. Faites-vous aider par les représentants du personnel s’il y en a!
      Je vous souhaite bon courage, à bientôt de vos nouvelles !

      • Emilie Himmi

        Merci pour votre réponse!!

        Oui effectivement les nouvelles sont loin d être bonnes malheureusement,
        Un soucis que je ne souhaite à aucun parents en juillet 2016 avec ma fille et j ai perdu mon fils pendant le dernier trimestre de grossesse en février 2017
        Demain cela ferra un an que j ai dû enterrer mon fils ………
        Alors il est vrai que le boulot et tout ces problèmes me passent au dessus de la tête
        Malheureusement pour nous, la société nous demande de reprendre notre vie rapidement car nous n avons pas connu cet enfant, nous n’a avons pas a le pleurer…

        Donc on se met en arrêt maladie mais l arrêt maladie c est bien mais la sécurité sociale nous dit ca vous deserre il faut retourner au travail, j avouerai qu’ ayant été très choqué par la réaction de mes collègues et de ma direction , cette option à toujours été difficile a imaginé

        Pour être honnête avec vous Isabelle j ai appris le redressement judiciaire par les journaux… Début de cette année, soit disant nous n’a avons pas a nous en faire pour nos emplois c est juste une mauvaise passe ,mais oui je le confirme ca fait 25ans que je me fais suivre sur ce site de santé et oui je le confirme c est calme très calme …

        Je vais donc prendre rendez vous avec ma direction afin de voir ce qu’ il est possible de faire
        Si il refuse le chômage technique ou la rupture
        Je ne peux pas envisager la démission,
        Les finances familiales ne permettent pas de vivre d amour et d eau fraiche…

        En l’ attente de vous lire

        • Isabelle Belledant Renard

          Oh ma pauvre, quelle tragédie !
          Il n’y arien de pire que de perdre un enfant, même s’il n’etait Pas encore né, il existait déjà…
          Et en plus vous avé un problème avec votre fille?
          Il est bien normal que vous n’ayez pas le cœur à travailler ! Il faut faire votre deuil et en plus vous occuper de la petite fille qui vous reste…
          Pourquoi ne pas prendre un congé parental d’éducation? Ou si votre petite fille est malade ou handicapée, il existe des congés spécifiques…
          Et vous êtes-vous fait suivre par une psychologue ? C’est important dans ce genre de situation de pouvoir en parler à quelqu’un qui ne va pas vous juger, qui va vous comprendre et vous aider à faire votre deuil…
          Mais si vous êtes toujours en dépression vous devriez avoir droit à rester en maladie, c’est injuste.
          Je suis de tout cœur avec vous Emilie.
          Un très bon courage à vous, et donnez-moi de vos nouvelles!

  • Isabelle

    Bonjour,
    Je travaille à mi-temps depuis 2 ans dans une entreprise familiale, mais j’arrive à saturation car je fais un travail plus qu’ingrat, où il n’y a jamais un « merci ».
    Je suis secrétaire polyvalente mais je suis plus polyvalente que secrétaire…et le peu que j’ai à faire en secrétariat je dois attendre que le fils de la compagne de mon patron ait laissé le matériel à disposition (alors que ce personnage ne fait pas partie de l’entreprise). Sinon la plupart du temps je fais du nettoyage…je suis courageuse, sérieuse mais il y a des limites.
    Aujourd’hui, j’ai décidé de ne pas me présenter à mon travail (Quid des jours prochains ???). J’ai pourtant besoin de travailler…j’ai été au chômage 5 ans cela m’a usé psychologiquement. Si vous avez une solution, merci.
    Dois -je me représenter au travail demain, au contact de gens irrespectueux ???
    PS : J’ai mis mon CV à jour, et commence à chercher autre chose.

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Isabelle,
      Je comprends votre ras-le-bol et votre réaction.
      Cependant, si vous ne vous présentez pas à votre travail, sans un arrêt de travail de votre médecin, il s’agit d’un abandon de poste. Donc, vous risquez le licenciement pour faute, sans indemnités. Ou d’une démission, ce qui revient au même côté indemnités de chômage. Vous n’en toucherez pas. Sauf à faire reconnaître que vous viviez une situation de harcèlement, ce qui n’est pas le cas. Donc, c’est vous qui voyez.
      Aujourd’hui on ne retrouve pas de travail en une journée, mais plutôt en plusieurs mois.
      Donc, si vous n’avez pas les moyens de tenir plusieurs mois sans indemnités de chômage, je vous conseille d’aller vous faire arrêter par votre médecin pour burn-out, puis de le dire à votre employeur, le temps de trouver une solution.
      Car, première question, en avez-vous déjà parlé à votre patron? Lui avez-vous vous déjà exprimé votre insatisfaction? Lui avez-vous déjà dit que vous étiez secrétaire et non femme de ménage? Qu’il était inadmissible que le fils de madame ait priorité sur le matériel et les professionnels de son entreprise? S’il est un véritable professionnel, il devrait le comprendre et mettre un terme à la situation. Car son entreprise ne peut pas être efficace si elle est gérée de la sorte! Et, par ailleurs, il doit respecter ses employés, boîte familiale ou pas!
      C’est la première chose à faire, mettre les choses au point avec lui. Si il ne veut rien changer, alors, vous continuez à chercher du travail ailleurs et lui demandez une rupture conventionnelle. Au moins, vous toucherez le chômage. S’il ne l’accepte pas, restez en maladie le temps de trouver un autre travail puis démissionnez!
      Mais pour l’instant allez voir votre médecin, parlez-lui de tout cela. Les médecins sont sensibilisés au burn-out et autres problématiques professionnelles, maintenant et sont beaucoup plus compréhensifs dans l’ensemble. Prenez-en un autre si celui-ci ne l’est pas.
      Mais ne restez pas chez vous sans rien dire à personne, c’est vous qui serez en tort! Et qui en paierez les conséquences…
      Bon courage! Tenez-moi au courant!

      • Isabelle

        Bonsoir,
        J.en reviens à votre réponse, merci d’ailleurs.
        En parler à mon patron, ce n.est même pas la peine, il ne dit même pas bonjour…et sa nana idem.
        On m’a conseillé de tenir bon, chose que je vais essayer de faire. Je vais voir le médecin le 29 janvier prochain, je lui expliquerai la situation et lui demanderai un arrêt.

  • AYEL

    bonjour , j’ai 43 ans et je suis fonctionnaire depuis l’age de 20 ans . j’arrive a saturation, je n’aime plus ce que je fais et pourquoi je le fais, je n’ai plus aucune motivation
    car je pense que l’on se met soi meme dans un engrenage sans fin avec cette vie ou l’on nous matraque à longueur de journée que l’on doit consommer plus et encore plus.
    je ne sais plus quoi faire, j’ai comme tout le monde quasiment un credit de maion à payer et 3 enfants qui vont bientôt se lancer dans des études supérieures. j’aime voyager, c’est la seule chose qui me rend heureuse, aidez moi

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Ayel,
      Je suis complètement d’accord, on se met nous-mêmes dans un engrenage, dont il est d’autant plus dur de sortir quand on est fonctionnaire! Par contre, ce statut apporte quelques avantages pour qui veut changer de vie. Telles que les mises en disponibilité qui peuvent aller jusqu’a Plusieurs années, ou les mutations par exemple. Il faut trouver un projet, soit d’année sabbatique, soit de réorientation, et organiser une stratégie. Je peux vous y aider.
      Je consulte aussi par Skype. Utiliser le formulaire de contact pour demander un rendez-vous! À très bientôt! 🙂

  • Frederic

    Bonsoir,

    J ai 46 ans et suis commerçant depuis 17 ans et aujourd’hui j en ai ras la casquette d être derrière un comptoir et de subir les clients
    Je voudrais changer de voie.
    Je ne sais plus quoi faire,je suis perdu.Pourtant lorsque j ai ouvert mon commerce j étais hypermotivé mais tout les matins depuis 4ans j y vais à reculons et je culpabilise car je me dis que c’est mon entreprise et que c est moi qui l ai crée et que je ne devrais pas me plaindre car de l extérieur je suis mieux loti qu un salarié car je n’ai pas de chef sur le dos et pourtant j en ai ras le bol

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Frédéric,
      Puisque vous n’éprouvez plus aucun plaisir à faire ce que vous faites actuellement, pourquoi ne pas revendre votre commerce, et prendre le temps de réfléchir à une nouvelle activité ? Faites un bilan de compétences ou faites le point avec un ou une coach ( moi par exemple;)) afin de vous aider à vous réorienter. Vous pouvez très bien reprendre un travail salarié, rien n’en vous en empêche , ou démarrer une autre activité à votre compte…vous n’avez que 46 ans. Trop tôt pour vous enterrer, non? Ne vivez pas cela comme un échec. Cela ne vous plaît plus, et votre vie vous appartient!
      Vous n’êtes pas prisonnier!
      Allez, commencez sérieusement à réfléchir à la suite, plutôt que de vous forcer à continuer!
      Bon courage et à bientôt !

  • chatelard

    Bonsoir j’ai. 54 ans
    Suis polyvalente dans mon job mais depuis notre rachat je suis tomber dans mon ancien job ou j’ai de moins en moins de polyvalence je me sens vide car je veux faire autre chose je ne supporte plus mes collègues de travail que je trouve faux j’ai demandé un bilan de compétences je m’enferme sur moi même je perds de mon énergie moi qui suit femme très actif mon ami est boulanger et sincèrement nous aimerions avoir un projet personnel afin de se mettre a notre compte mais on ne sait pas trop comment s’y prendre il a 10 de moins que moi et lui aussi sature et passé a cote d un bien out du a son patron pervers tellement de choses a dire vous avoir écrit me libére un peu de mon angoisse
    Cdls

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Chantal, vous avez bien fait d’écrire. Et bien fait de demander un bilan de compétences,c’est une première étape pour vous sortir de là. Votre compagnon devrait en faire autant d’ailleUrs. Quand vous aurez de part et d’autre vu ce qu’il vous était possible de faire et ce qui vous conviendrait, vous pouvez tout à fait envisager un projet commun. Je suppose que vous souhaiteriez vous mettre à votre compte ou créer votre entreprise? Vous pourrez demander un congé de création d’entreprise pour le faire. Pour vous aider et vous conseiller il vous faut contacter l’Agence pour la Création d’Entreprise ou une boutique de gestion. Avec votre conseillère en Bilan de Compétences vous trouverez les bonnes adresses. Allez-y ensemble avec votre mari et parlez-leur de votre projet. Ce seront vos interlocuteurs pour vous accompagner depuis le projet en passant par le business plan et la recherche de financement.
      Ne vous inquiétez pas, vous avez entamé la bonne démarche. Laissez-vous guider par vos interlocuteurs et vous ferez les pas suivants les uns après les autres…
      bon courage et à bientôt de vos nouvelles!

  • Benallal

    Bonsoir
    Je vais aller droit au but, je travaille dans une grande entreprise Française et je me suis toujours impliqué et investis a 1000 %, j’ai eu de la reconnaissance et une petite promotion mais depuis 10 ans je stagne alors que je m’investis toujours beaucoup et que mes résultats sont reconnus. A mon niveau il y a peu mais quand même quelques personnes issue de la diversité (1 ou 2% dont je fais partie à la sueur de mon front) en revanche au delà plus rien 0%. Des personnes avec un profil et un parcours similaire ont elle pu avancer au delà de ce plafond sans aucune difficulté. Je ne suis pas de nature à tirer des conclusions hâtives ni à céder à la facilité de la victimisation, j’ai bien analysé les organigrammes et c’est incontestable.Du coup je commence à me décourager sérieusement et la stagnation m’insupporte d’autant plus que j’ai un manager pas méchant mais totalement incompétent.

  • Marie

    Bonjour,

    Merci pour votre blog, et vos precieux conseils. J’ai 34 ans, et travaille depuis 7 ans comme responsable commerciale pour une multinationale en Espagne. Je gagne bien ma vie, ai eu plusieurs promotions, et trouvais mon travail interessant jusqu’à un certain moment ou le stress a commencé a énormément m’affecter. L’année dernière,en Novembre, (époque de négociations, beaucoup de déplacements, de stress intense), j’ai craqué et vraiment cru ne pas réussir a retourner au travail. Petit à pètit je me sus relevée, et ce, sans arrêt de travail, j’en ai parlé a mon chef qui a prit le problèmne à la légère. Depuis je suis totalement démotivée, je vais au travail avec un noeud à la gorge. je suis constament sur les nerfs, et cela affecte mes relations avec mes collègues mais aussi mon conjoint et mes enfants. Je n’en peux plus, et n’ai pas de temps pour me pauser et réfléchir à quel genre de poste pourrait me plaire, au sein de la même entreprise ou dans une autre. Changer complètement de voie ou reprendre une formation? Ici en Espagne il n’y a pas de conseillers pôle emploi, mais des coachs privés, je ne sais pas vraiment par où commencer…

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Marie,

      Merci pour votre commentaire et votre témoignage. Apparemment, vous frisez le burn-out!
      Il faut vous arrêter d’urgence. Posez des congés dès que possible, maladie ou autres, et posez-vous pour vous reposer et prendre le temps de réfléchir!
      Il est clair que vous ne pouvez pas continuer ainsi.

      La première chose à faire, et la plus urgente: arrêtez-vous! Plus vous allez tarder, et pire cela va être. Vous finirez par craquer ou tomber gravement malade.
      Et la deuxième chose que je vous demanderai, dès que vous pourrez vous poser pour y réfléchir, c’est de faire le point sur ce qui vous plait ou non dans ce travail (Lire mon article « faire le point »).
      Posez le tout sur une feuille, et tentez de distinguer ce qui appartient au métier ou à l’entreprise.
      Si votre inconfort vient de votre chef, il faut changer de service. S’il vient de l’entreprise elle-même, il faut changer d’entreprise. S’il vient des conditions de travail en Espagne, changez de pays! et revenez en France où le droit du travail vous permet d’envisager une reconversion dans de très bonnes conditions!
      Et s’il vient du métier lui-même, c’est qu’il faut changer de métier…

      Je ne sais sur quel droit du travail vous êtes, français, espagnol, européen ou autre, et je ne peux donc aujourd’hui vous conseiller une mesure particulière. Mais par contre, je suis moi-même psychologue et coach, je peux donc tenter de vous aider sur votre choix.
      Pouvez-vous me joindre pour que nous prenions rendez-vous par Skype? Je vous aiderai à faire le tri de tout cela, et pourrai vous conseiller de manière plus personnelle…
      A très bientôt, et posez des congés, vite!

  • Camille LEGROS

    Bonsoir,

    Je m’appelle Camille LEGROS, j’ai 29 ans, je suis en recherche active d’emploi (au RSA) bien que le système « métro-boulot-dodo » ne correspond pas.
    Cependant je suis bien « obligé » de trouver un emploi « alimentaire » (aussi « pour faire plaisir » à mes proches; qui je suppose préfère que j’ai une vie « bien rangée » tandis que je souhaite une vie d’aventures, de rencontres.
    Je ne sais pas/plus comment faire pour sortir d’une routine de recherche d’emploi (recherches infructueuses et ce n’est pas faute de faire des démarches ici et là). Je veux aussi pouvoir vivre mes rêves, être vraiment moi.

    Ce qui est important pour moi MAINTENANT:
    – réaliser mon projet professionnel de vivre et travailler (temporairement ou plus longtemps) en Norvège/En parallèle de ce projet je souhaite construire ma propre maison écologique sous le même modèle de cette famille norvégienne Hjertefolger: «  »https://mrmondialisation.org/cette-famille-vit-dans-un-dome-geodesique/ ».)
    – apprendre le violon et le saxophone (je joue déjà de temps en temps du piano pour le plaisir). Pourquoi ces deux nouveaux instruments en particulier? Pourquoi pas?
    – (re)devenir la véritable femme/personne qui sommeille en moi et que je ne me suis peut-être jamais « autorisée » à être/devenir vraiment moi/ Partir « en quête de sens », en quête de moi; partir à la rencontre d’une personne, à MA rencontre.
    – voyager, encore et toujours (plus souvent et plus longtemps)
    – Vivre plus souvent l’instant présent/Juste Être
    – être libre, indépendante financièrement et géographiquement
    – quitter définitivement mon appartement à Metz.
    – …..

    …. et aussi dans les années à venir:
    – repasser le BAC ES en candidate libre (chiche?)
    – la licence d’histoire en candidate libre (chiche?)
    – passer le TOEIC, le DAFL (test allemand), le Begentest ou Norskprove 1, 2 et 3 (test norvégien)/ apprendre d’autres langues
    – fonder une famille
    – écrire un (voire plusieurs) livres

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Camille!
      Quel beau projet de vie!
      ça donne envie! 🙂
      Oui, sortez de cette routine métro-recherche de boulot-rsi dans lequel vous vous êtes enfermée, partez vivre vos rêves!
      Laissez tomber les rêves des autres qui ne font que vous maintenir dans la médiocrité et partez! Il n’y a qu’en France que c’est aussi compliqué de s’insérer dans la société. Les rêves sont souvent beaucoup plus faciles à mettre en oeuvre ailleurs.
      La maison écologique, c’est sûr, elle sera beaucoup plus facilement acceptée et finançable là-bas. Vivre et travailler en Norvège?
      Vous êtes-vous renseignée sur les possibilités d’immigration et/ou de travail temporaire dans un premier temps? Faites-le! Courez à l’ambassade et à l’agence spécialisée de Pôle Emploi pour le travail à l’etranger! Il est probable que la Norvège n’accepte pas d’immigrants non diplômés et sans un travail intéressants pour eux. Mais y travailler temporairement y est sûrement possible. Allez-y!
      Et avec tous les projets d’apprentissage de langue que vous avez, pourquoi ne pas faite d’une pierre deux coups? Partir faire une formation en langue là-bas? Quel âge avez-vous? Peut-être pouvez-vous profiter du programme Erasmus?
      Et s’il vous faut de l’argent pour partir, alors, pourquoi ne pas tenter de faire financer votre projet par une plateforme de crowdfunding ( financement participatif) et/ou trouver un job qui vous permettra de partir? Avec cette motivation là, je suis sûre que vos recherches de job vont se débloquer…
      Par ailleurs, si vous souhaitez être indépendante financièrement, quel que soit l’endroit où vous vous trouvez dans le monde, le blogging et le e-commerce sont des solutions idéales!
      Suivez des bloggeurs pro comme Olivier Roland par exemple,( l’auteur de tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études) qui ont déjà réalisé ce projet avant vous, et qui conseillent les autres sur ce point.
      Vous pouvez le suivre sur Youtube, Facebook… Il y a aussi Aurélien Amacker et quelques autres marketeurs mais qui vous intéresseront moins, et des bloggeurs spécialisés dans le voyage également, qui peuvent vous servir de modèle!
      Allez, lancez-vous. Profitez de l’été pour faire vos recherches sur internet et en live, établissez votre plan d’action et hop! Faites le premier pas!!!
      Quant à vos autres projets et bien, tout le reste s’ensuivra quand vous aurez enclenché la démarche….Un de ces quatre, vous nous raconterez votre aventure dans un livre, et comment vous avez échappé au métro-boulot-dodo en inspirant plein d’autres personnes!
      Allez, bon vent, Camille, et surtout, tenez-moi au courant!
      Et si jamais vous souhaitez que je vous accompagne dans cette démarche, j’en serais honorée…

  • Benedicte

    Bonjour Isabelle,

    Merci pour votre blog.
    Je suis fonctionnaire aux impôts et je déteste mon job. J y suis entrée il y a 5 ans sur concours faire de mieux. J ai la quarantaine et j ai toujours rêvé d être comédienne (vocation précoce contrariée par la famille); dès que je le peux je fais du théâtre ou vais sur des tournages. En 5 ans je me suis deja mise en arrêt longue maladie pendant 1an et demi pour dépression car je ne supportait plus cet univers sclerosant aux antipodes de mes penchants artistiques. J’ai repris il y a 6 mois à trois quart temps thérapeutique mais j’en ai déjà marre. Des que je rentre d’une journée de tournage c’est juste l’horreur de reprendre mon boulot de bureau. Je pense me remettre en arrêt mais J’ai peur. Quel avenir je me prépare??? Je me sens inapte a une vie « normale » et routiniere entourée des memes collègues de bureau, des memes cancans…Je carbure au lexomyl pour calmer mes angoisses….

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Bénédicte,
      Bravo d’avoir écrit.
      En effet, quel avenir vous préparez-vous, et quel présent vivez-vous?
      Pourquoi rester dans un milieu professionnel qui vous fait tellement souffrir?
      Bien sûr, il faut bien vivre et payer le loyer. Mais le prix que vous payez n’est-il pas trop élevé? Vous vous faites du mal, vous vous détruisez peu à peu. Vous étouffez. Cela vaut-il le coup? N’y a t-il aucun autre emploi qui serait plus supportable ? Bien sûr que oui.
      Même si vous ne voyez pas encore quoi.
      Bien sûr, vous avez la sécurité de l’emploi. Mais à quel prix…
      il est temps pour vous de cesser d’être écartelée. Vivre de votre passion vous paraît sans doute aléatoire et il vous faut un emploi alimentaire ? Ok. Mais pas au prix de votre vie.
      Alors, vous avez la chance de tourner, déjà, et vous êtes dans la fonction publique, qui vous permet de changer d’affectation, d’administration, de faire des formations et prendre des mises à disposition. Profitez-en.
      Faites un bilan de compétences pour réfléchir à ce que vous pourriez faire d’autre et autrement. Choisissez et prenez des décisions.
      Et utilisez tout le panel de dispositifs spécifiques pour partir!
      Faites-le, n’attendez plus. Votre vie vous appartient. Soyez fidèle à vous même plutôt qu’à un entourage qui voulait certes, votre bien, mais vous enferme dans votre malheur.
      Libérez-vous de ces chaînes que vous avez intégrées!

      Si vous le souhaitez, et cela me ferait très plaisir de vous accompagner dans cette démarche, nous pouvons faire ce travail ensemble.
      N’hésitez pas, contactez-moi!
      Amicalement, Isabelle

  • Chantal Delage

    Bonjour
    Je suis dans la fonction publique territoriale depuis 27ans et j’en ai ras le bol de mon boulot j’ai fait un burn out en 2015 j’ai repris mais je sens que ça recommence Je suis à 2ans et demi de la retraite mais j’en peut plus

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Chantal,
      Je comprends que vous n’en puissiez plus. Vous tenez pour la retraite en vous disant que ce n’est pas maintenant que vous allez changer. Mais peut-être y a t’il d’autres solutions. Comme par exemple la mise à disposition, ou le congé pour convenance personnelle. Vous pouvez également prendre un temps partiel ou un mi-temps thérapeutique. À voir avec la médecine du travail.
      Et puis, il reste toujours l’arrêt maladie longue durée ou le licenciement pour invalidité, en dernier recours. Vous toucheriez des indemnités. Bien sûr, tout cela est à réfléchir et à voir avec votre médecin du travail. Voulez-vous que nous parlions plus précisément de votre situation pour vous aider à trouver les solutions qui vous conviendrons?

  • bouchet

    bonjour
    je suis fonctionnaire aussi , pas envie d aller bosser , mentalité pourrie , je veux partir quoi faire ?
    dans un service ou je remplace j ai le droit a une ignorance , des paroles méchantes , des propos déplacer
    des critiques sur mes collègues je n en peux plus , mentalité de gamin le reste je préfère pas en parler

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Sophie, commencez par demander à faire un bilan de compètences, cela vous aidera à y voir plus clair sur ce dont vous êtes capable et ce que vous pourriez faire d’autre. Ensuite, quand vous saurez mieux où vous allez , vous pourrez partir en formation si nécessaire. Les prestations ne portent pas tout à fait les mêmes noms dans le secteur publique, et les conditions ne sont pas tout à fait les mêmes, mais en gros, vous avez à peu près les mêmes droits. Le CIF, par exemple, s’appelle Congé de Formation Professionnelle, Le congé sabbatique s’appelle congé de mise à disposition pour raison personnelle… bref, renseignez-vous auprès de vos RH, sur votre système informatique, ou auprès des syndicats pour les découvrir si vous ne les connaissez pas encore. Avec toute cette batterie, envisager de partir ailleurs est tout à fait possible! Je l’ai fait moi-même. Alors, renseignez-vous, lisez ce blog, et prenez rendez-vous avec moi si vous avez besoin d’être aiguillée..
      À bientôt !:)

  • bouchet

    marre de mon boulot de mes collègues je veux partir changer de vie , je passe mon permis je lai rater trop de pression , je n’ai plus aucune motivation

  • DEVENEY Léa

    Bonjour,

    Merci d’avoir mis en ligne votre expérience !
    Je suis fonctionnaire dans la fonction publique d’état depuis peu de temps après de longues années en tant que contractuelle. Je suis usée par l’état d’esprit de ma hiérarchie et le manque totale de reconnaissance.
    J’envisage de me reconvertir et surtout de pouvoir souffler quelques temps pour me reconstruire. Je suis proche de la saturation totale et même les vacances ne me suffisent plus en ce moment. Je craque même au boulot devant mes collègues et mes chefs alors que je n’ai jamais eu ce comportement et que j’ai toujours été une « battante », très investie.
    Je vous écris pour avoir vos conseils : je souhaite demander un CIF (CFP dans la FP) cette année mais je crois comprendre qu’en cas de refus il faudrait dans mon cas attendre encore un an car les demandes sont annuelles; Est ce le cas ?
    Est ce que je peux me mettre en congé parental (j’ai ma petite dernière qui a deux ans) ou en dispo en attendant d’obtenir le CIF ?
    Merci pour vos conseils, ils me seront précieux dans cette période de doute.

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Léa,
      Oh, comme je vous comprends!je suis passée par là aussi 😉

      En effet, si la demande de départ en congé de formation vous est refusée pour raison de service (trop d’effectif en formation) ou pour des raisons budgétaires, vous ne pourrez refaire la demande que l’année d’après. Certaines conditions peuvent varier d’une fonction publique à l’autre , je vous conseille donc de vérifier ce qu’il en est dans votre cas sur le lien ci-dessous.
      En cas de refus, vous pouvez demander une disponibilité pour élever un enfant de moins de huit ans, qui est un congé de droit. Il sera donc obtenu et sans délai.
      C’est un peu différent du congé parental d’éducation qui lui, est à la naissance de l’enfant.
      Bien sûr, vous pouvez aussi demander une mise en disponibilité classique ou un congé sans solde mais on peut vous les refuser.
      De toute façon, dans tous les cas vous ne serez pas rémunérée.
      Mais quand on en est là où vous en êtes, ce qui compte, c’est de sauver sa peau…La médecine du travail ou votre médecin de famille peuvent également vous arrêter pour épuisement professionnel! C’est de plus en plus reconnu! Expliquez-lui ce que vous venez de me dire, et il y a de grandes chances pour qu’il vous arrête! Pas besoin d’attendre d’avoir des symptômes physiques pour cela.
      Les médecins sont de plus en plus sensibilisés à ce problème et ils en connaissent les conséquences au niveau santé. Vous arrêter est de la prévention!
      Bon courage et donnez-moi de vos nouvelles!

      http://www.fonction-publique.gouv.fr/conge-de-formation-professionnelle-cfp#conditions
      https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/N31057

      • Léa

        Bonjour,
        Merci pour vos réponses ! Je me rends compte que le CFP sera sûrement bien difficile à avoir la première année. En cas de refus, si je me mets en congé parental (ou dispo pour enfant de moins de 8 ans) est ce que je pourrai à nouveau demander un CFP l’an prochain ? fait il être en activité pour le demander ? si tel est le cas, je ne suis pas sûre de pouvoir faire cet effort …
        Je me permets une autre question : d’après vous, est ce qu’il est possible d’être auto entrepreneur quand on est en dispo pour élever son enfant ?
        Mille fois merci 🙂
        J’espère que les vacances de Noël vont être un moment de réflexion plus serein … difficile de couper et de ne pas être « en boucle ».
        Bonne journée,

        • Isabelle Belledant Renard

          Oui oui, Léa, vous pouvez tout-à-fait faire une demande de CFP quand vous êtes en congé, sauf dispositions contraires de votre administration.
          Quant à se mettre en auto-entrepreneur durant un congé spécifique, comme vous devrez en demander l’autorisation à votre administration, elle ne vous sera pas accordée. Il faudra que vous preniez une disponibilité pour raisons personnelles simples, ou un congé pour création d’activité.
          Par contre, soyez vigilante sur les délais de carence entre deux demandes de congés. Voyez dans les dispositions spécifiques de votre administration. Vous pouvez demander aux RH, ou vous renseigner sur votre site intranet, ainsi qu’auprès des représentants du personnel, ils seront mieux à même que moi de vous donner les petits trucs pour établir votre stratégie…;)
          Bon courage! 🙂
          Et n’oubliez pas, vous avez toujours l’arrêt maladie si ça ne va pas!

          • Santini

            Bonjour ! On dirait que c est moi qui ai ecrit ce post. Fonctionnaire depuis 23 ans je suis en train de devenir folle. J ai tout essayé : changer de ministère, de region. Rien n’y fait. Je n en peux plus et personne ne me comprend. Je voudrais tout plaquer mais je suis seule avec deux grands garçons. J ai regardé pour reprendre un petit commerce dans la campagne. Mais il faut de l apport personnel. Je ne sais plus quoi faire. Merci de votre aide !

            • Isabelle Belledant Renard

              Bonjour Sarisa,
              Je vous propose de prendre un rendez-vous pour que nous puissions examiner ensemble votre situation, et voir concrètement ce qu’il vous ait possible de faire.
              Vous pouvez prendre directement rendez-vous sur le site à la page « mes services ».
              Cet entretien par Skype d’une demi-heure sera gratuit.
              À très bientôt, n’hésitez pas, je peux vraiment vous aider!

  • david

    je travaille depuis 38 ans dans une société familiale bon il y a une bonne ambiance ,pas trop de soucis ,c est le travail de vendeuse et le produit qui passe plus ,!!! les clientes et clients ,qui sont de plus en plus odieux , vendre le meme produit depuis 38 ans ,ce métier ne me nourrit plus ,j ai envie de passer a autre chose ,c est une question de survie !! j ai pris un 30 heures et songe a un 25 heures tellement c est difficile ,j ai mal partout ,j angoisse de voir les clients ,je me sens mal ,,mais que faire j ai 55 ans ,je me sens encore capable de travailler physiquement c est juste moral ,,si quelqu un a des pistes

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Janik,
      En effet, il serait bon pour vous de vous poser un peu et d’évoluer. N’y a t-il pas moyen de vous passer à un autre poste dans votre entreprise? Quite à faire une formation pour vous y adapter?
      A votre âge et avec votre expérience, vous pourriez au moins être chef vendeuse, et/ ou former d’autres vendeuses. En avez-vous déjà parlé à votre employeur? Puisque l’ambiance est bonne, parlez de votre ras-le-bol! Pour vous comme pour votre employeur, il n’est pas bon que vous en soyez à ne plus supporter les clients et à ne plus voir en peinture ce que vous vendez! Les résultats s’en ressentent forcément ! Donc, il est de son intérêt de prendre en compte votre malaise et d’essayer de vous trouver un autre poste en interne. Ou auprès d’un fournisseur ou d’un partenaire!
      Sinon, et bien, commencez par faire un bilan de compétences, puis vous envisagerez ensuite quoi faire. Une reconversion, un projet parallèle… vous verrez bien ensuite. Et posez-vous. Un congé, même sabbatique, vous fera le plus grand bien. Sinon, un arrêt maladie, car de toutes façons vos douleurs physiques ne vont pas s’arranger tant que vous ne trouverez pas de solutions…
      Bon courage!

  • Laura

    Bonjour,
    Je vous écris car j’ai l’impression que je n’ai jamais été heureuse au travail et j’aimerais vraiment que ça change.
    J’ai 34 ans, je travaille depuis 13 mois dans un think tank au sein duquel j’organise toutes les conférences et événements. Il y a 3 ans je me suis orientée vers l’événementiel pensant que j’allais enfin m’épanouir au travail que le coté dynamique et changeant de ce job me permettrait de m’épanouir et de gravir les échellons mais ce n’est pas le cas. Je m’ennuie, rien ne m’intéresse…tous les jours je vais avec les pieds de plombs au boulot et tous les jours je compte les minutes qu’il me reste à subir… j’ai l’impression d’avoir toujours subi et je travaille depuis que j’ai 24 ans… j’ai travaillé dans le milieu bancaire, dans l’informatique, dans l’administratif et en changeant pour l’événementiel je me suis dit que tout irait mieux et bien non…après quelques semaines je recommence à m’ennuyer et à subir, les horaires ne me conviennent pas, l’ambiance est ‘boring’, le contenu ne me touche pas…. bref je me sens nulle, complètement inutile et incapable surtout quand je compare ma carrière à celle de mes proches qui eux ont tous des promotions ou évoluent… moi je n’ai pas envie de donner…la seule chose qui me retient c’est le salaire (pas terrible) à la fin du mois en bref un minimum de sécurité… maman d’un petit de 21 mois et enceinte d’une petite deuxieme prévue pour mars 2017 je me demande vraiment comment je vais tenir jusqu’à l’accouchement… pour moi changer maintenant serait complètement suicidaire étant donné que nous venons d’acheter un appartement et que nous ne roulons pas sur l’or mais je ne peux plus rester les bras croiser… je pense tout le temps à changer mais pour aller où??? j’ai déjà fait tellement de jobs différents dans toutes sortes de structures différentes et rien ne m’a convenu jusqu’à présent…je suis prête à recommencer en bas de l’echelle mais qui voudra engager une mere de famille de 2 enfants de 34 ans… bref l’avenir me fait TRES peur… si par hasard vous avez un ou l’autre conseils je suis preneuse… mille mercis d’avoir pris le temps de me lire. Bien à vous et elle journée à tous Laura

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour Laura,
      Vous vous ennuyez au travail, ce qui n’est pas si rare que cela. C’est le signe que vous n’êtes pas à votre place, que vous n’avez pas encore trouvé votre voie. Finalement, que ce soit dans l’événementiel ou autre, vous faites un boulot « classique » : de l’administratif et de l’organisationnel. Vous avez sans doute besoin de quelque chose de plus stimulant pour vous, qui vous offre de vrais challenges, qui vous pousse à vous dépasser, qui vous donne le sentiment d’avoir une « mission » à accomplir. Peut-être avez-vous besoin également de quelque chose de plus créatif ou avec des valeurs qui vous touchent et vous donnent envie de vous battre. Il faut que vous fassiez une véritable démarche d’orientation pour trouver le secteur, le type d’emploi, la façon de travailler qui vous conviennent vraiment, qui soit en accord avec ce que vous êtes vous. Quand vous les aurez trouvés, non seulement vous ne vous ennuierez plus, mais vous n’aurez plus peur de l’avenir, car vous saurez que ce travail-là, vous le poursuivrez.
      Avez-vous déjà fait un bilan de compétence? Si non, il faut commencer par là. Si oui, il faut poursuivre la démarche par un coaching d’orientation. Regardez la page  » mes services » et prenez contact avec moi, je peux vraiment vous aider dans cette démarche, c’est tout à fait mon créneau !
      À très bientôt j’espère, j’ai peux vraiment vous aider. Ne passez pas à côté de votre vie! 🙂

  • Véronique Dufour

    Agent RATP depuis 18 ans j’ai vu tous les changements d’organisation et c’est allé de pis en pis. Déjà ce n’était qu’un boulot alimentaire (choisi pour les avantages notamment pour les comptes de temps qui me permettaient de continuer mes activités de musicienne), mais à présent ce boulot devient un boulet. J’ai tout vécu: harcèlements, humiliations, dépressions, inaptitude, congés longue maladie avec séjours en hôpital psychiatrique pour dépression, congés sans solde, et de nouveau sanctions,rébellion, bilan de compétences, formation par le CIF… Rien n’a marché.
    Je sais qu’ils veulent que je démissionne, ainsi je ne vais rien leur coûter. Ils continuent à me harceler parce qu’ils savent que leur politique d’objectifs me répugne. Malgré cela et même si c’est difficile à croire, j’ai beaucoup donné car je suis une passionnée et fais les choses avec coeur. Mais il n’y a aucune reconnaissance, jamais.
    A présent, le travail me dégoûte, les collègues me dégoûtent, la hiérarchie me fait vomir, et je ne suis plus rien pour le « Marché du Travail »
    Voilà la vie d’une salariée « privilégiée », comme je l’entends dire souvent. Ce qui est une insulte de plus
    Je ne sais plus que faire. Sans doute, pour éviter le suicide, je finirai par démissionner…

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Veronique,
      Votre témoignage est terrible. Mais malheureusement reflète assez bien ce qui se passe pour beaucoup de ces soi-disant privilégiés du service publique.
      En ayant fait partie moi-même, je comprends bien de quoi vous parlez.
      Il est temps de vous sauver, au sens propre et figuré. Rien ne peut être pire que de survivre dans de telles conditions. Il faut partir, et prendre le temps de vous reconstruire, avant de pouvoir trouver une activité professionnelle qui vous convienne.
      Pour l’instant, vous croyez ne plus rien valoir, et c’est normal avec ce que vous vivez depuis si longtemps.
      Vous retrouverez confiance en vous petit à petit. Mais là, il faut vous en sortir effectivement.
      Changez de service, qu’on vous mette au placard s’il le faut mais changez de contexte. Demandez une disponibilité pour aller travailler dans un autre service publique, une mutation, n’importe quoi mais changez. Vous serez peut-être au placard mais vous ne subirez plus de harcèlement. Ã savoir, la démission pour raison de harcèlement est un motif acceptable pour Pôle Emploi. Mais comme c’est votre employeur qui vous verserait votre indemnité… vous pouvez aussi tenter à nouveau les démarches qui ont échouées antérieurement : comme le CIF ou le licenciement pour invalidité. En tous cas, tentez quelque chose avant la démission, ou ayez de l’argent de côté.
      Mais la démission vaudra toujours mieux que cette vie de morte-vivante et de souffrance que vous menez. Sortez vous de là, et vite!
      Je reste à votre disposition…

  • la miss

    Bonjour je travaille dans laide à la personne dans un établissement pour personnes du grand âge. Seulement en contrat depuis 10 mois environ je commence à péter un câble . A cause des conditions de travail, des collègues, de la routine. . .
    Je me suis déjà arrête il y a 4 mois en arrière car j étais très mal psychologiquement. Je n’arrive pas a faire un break quand je suis à la maison.
    Je suis dégoutée de mon métier qui a la base nest pas fait pour ça.
    Ce qui m’énerve le plus ce sont les conditions. . . Nous sommes 1 soignante pour 15 accompagnements à la toilette le matin et 1 pour30 l après midi. . . Des plannings qui changent à tout bout de champ. Je dois encore tenir 3 mois et demi. . . Et sincèrement J’ai bien peur de ne pas venir jusque là . J’ai demandé à ma chef des vacances. J’espère quelle va me dire oui car depuis octobre 0 vacances.
    Que me conseillez vous ?
    Cordialement
    La miss

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour La Miss,
      Si vous êtes en CDD, malheureusement, vous n’aurez pas le choix. Il faut que vous alliez jusqu’au bout, ou votre employeur pourrait se retourner contre vous pour rupture de contrat.
      Mais il vous reste toujours l’arrêt-maladie; et surtout, la possibilité en fonction de votre ancienneté et de la durée de votre expérience professionnelle, de faire une formation de reconversion, en CIF, DIF, ou CPF, selon votre situation.
      D’après ce que vous me dites, vous aimez votre métier mais ce sont le contexte et les conditions de travail qui vous épuisent, et on le comprend!
      Il vous faut donc changer d’établissement ou de forme de travail. Le problème du manque de personnel est malheureusement récurrent dans ce secteur professionnel, ce qui veut dire que vous risquez bien de retrouver les mêmes conditions de travail dans un autre Ehpad.
      A l’hôpital ce sera la même chanson.
      Vous avez peut-être un peu plus de chance en clinique – et encore.
      Les conditions seront toutefois nettement meilleures en résidence sénior ou dans le cadre du maintien à domicile.
      Vous pouvez éventuellement envisager un complément de formation d’aide à domicile, avec votre formation d’aide soignante, ça ne devrait poser aucune difficulté!
      Voilà, j’espère que ces conseils et ces renseignements vous aideront à garder votre moral et votre courage pour aller au bout de votre contrat.
      Commencez à penser dès maintenant à ce que vous allez faire ensuite et où, cela vous permettra de vivre avec moins de découragement votre situation actuelle.
      Et en attendant « la quille », prenez votre mal en patience et votre courage à deux mains! 🙂

  • Fred

    Bonsoir, je travaille dans une grosse entreprise de transport public et je vois que rien ne s’arrange, une impression de faire le job et de m’investir mais pour peu de reconnaissance au final. J’arrive heureux et motivé au travail le matin (quoique fatigué) mais un collègue qui devrait être un bras droit ne joue pas le jeu et plombe l’ambiance tout en attirant les autres dans son caractère pessimiste, critique et négatif. Il est en perpétuelle critique vis-à-vis de l’organisation de l’entreprise, des décisions prises et même de ses collègues qu’il n’aime pas. Les expressions « toute façon c’est de la merde », « je m’en bas les c. », « personne ne dit rien » etc reviennent sans cesse et ont fini par me faire regretter d’avoir quitter mon poste précédent (il y a tout juste 6 mois) et je suis démotivé à mon tour. J’ai comme l’impression qu’on la forcé à venir travailler, qu’il faudrait presque s’excuser de travailler avec lui. C’est terrible pour un jeune de moins de 30 ans d’être aussi négatif et d’un autre côté la hiérarchie ne veut rien faire pour le « libérer » pour qu’il prenne un autre poste, justement à cause de son attitude. Il me fait « payer » son ressentiment, or moi je suis convaincu de l’intérêt de son métier et d’une vraie collaboration. Voilà ce que j’ai à dire, qu’en pensez-vous?

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonsoir Fred,
      Quel dommage qu’une seule personne ait ainsi le pouvoir de tirer toute une équipe vers le bas à elle seule! Et surtout vous qui me semblez aimer votre travail.
      A moins qu’il y ait autre chose ? Vous me dites au début de votre message que vous avez l’impression de vous investir pour peu de reconnaissance. Qu’est cette personne hiérarchiquement vis-à-vis de vous, en dehors du fait que vous devriez collaborer. Un simple collègue? Un supérieur hiérarchique ? Un subordonné ?
      Il me semble que vous avez affaire à un comportement ou une personnalité de type passif-agressif. Quelqu’un qui ne supporte aucune autorité mais qui ne s’oppose jamais frontalement, toujours par l’intermédiaire de la critique et en manipulant les autres. C’est très dur à gérer car c’est très énervant. Christophe André le décrit très bien et donne des solutions dans son livre  » gérer les personnalités difficiles. Peut-être aussi manifeste-t-il une désillusion, une insatisfaction par rapport à quelque chose qu’il attendait dans cette entreprise, une promotion, une reconnaissance qu’il n’a pas eue, voire peut-être le poste que vous avez obtenu!

      Dans les deux cas, il faut le valoriser, lui donner des responsabilités, lui montrer ( même si c’est difficile) que vous le respectez, que vous connaissez ses compétences et sa valeur. Il faut y aller petit à petit, ne pas se décourager, car bien souvent, ce sont des personnes qui  » n’y croient plus »,  » à qui on ne l’a fait pas », qui surtout refusent de  » se laisser avoir ».
      Mais En tant que cadre en tout cas, on peut réussir des merveilles avec cette technique avec certains collaborateurs désabusés, amers, sous-employés et cyniques, qui se sont emmurés dans la position de « boulet » ou de  » chieur de service ». Un changement de contexte fait aussi souvent du bien, comme un changement d’équipe ou de service.

      Peut-être ce jeune homme est-il toujours comme cela du fait de son caractère , mais peut-être aussi manifeste-t’il tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Peut-être est-il un révélateur d’un dysfonctionnement dans l’entreprise, dont vous commencez peut-être vous même à subir les effets?
      Si vous le souhaitez, nous pouvons en discuter davantage de vive voix.
      Un coaching peut vous aider à débloquer ce genre de situation par la prise de recul et par l’adoption de comportements adaptés.
      Je suis à votre disposition, en tout cas.
      A bientôt, bon courage et tenez-moi au courant de l’évolution de cette situation!
      Et surtout, ne vous laissez pas atteindre dans votre bel entrain et votre amour de votre travail, c’est trop précieux !

  • Marie

    Bonsoir,

    J’ai bientôt 58 ans et encore 4 ans à travailler avant de prendre ma retraite. Je travaille depuis presque 30 ans au même endroit. J’ai souvent changé de service. Depuis 7 ans je travaille avec les mêmes personnes, et là ce soir je n’en peux plus des ordres, contre-ordres, déstabilisation, travail commençait que je ne peux terminer car on m’en donne un autre encore plus urgent que le précédent. Ma collègue part en congé au mois de juillet, je dois faire mon travail (pour deux services) tout en travaillant à temps partiel, en remplaçant ma collègue et une autre qui nous quitte définitivement à la fin du mois. J’ai alerté ma responsable pour lui dire que je ne pourrais pas tout faire toute seule. Elle s’en fiche éperdument et fait tout pour que je craque (ce que j’ai fait ce soir). J’ai du prendre des calmants et j’ai pleuré un long moment. Que faire ? Démissionner, chercher ailleurs (je n’en ai plus le courage) ? A tout cela je dois ajouter que je ne suis jamais remerciée pour le travail effectué, jamais augmentée (depuis plusieurs années, manque de budget, soit disant). Je suis écœurée et dégoûtée. Merci de m’aider pour tenir le coup car je suis à bout.

    • Isabelle Belledant Renard

      Bonjour MARIE,
      Comment allez-vous aujourd’hui ? Je suis désolée de ne découvrir votre message que ce matin.
      Avant tout, il faut vous arrêter. Vous n’en pouvez plus et vos supérieurs ne veulent pas en prendre conscience ? Arrêtez-vous! Allez voir votre médecin et dites-lui franchement ce qui se passe, soyez comme vous l’étiez hier soir, il verra à quel point vous êtes à bout et vous mettra en arrêt maladie. Vous êtes au bord du burn-out, si ce n’est pas déjà le cas. Il y a urgence.
      N’ayez pas de scrupules, il y va de votre santé et de votre vie.
      Non, ne démissionnez surtout pas à quatre ans de la retraite. Et chercher ailleurs dans votre état ne mènerait nulle part.
      ce que vous avez à faire, c’est d’alerter la médecine du travail, les représentants du personnel et les RH de votre entreprise sur votre situation! Prenez un rendez-vous avec le médecin du travail qui fera un rapport sur votre état aux RH. Qui devront du coup prendre en compte la situation. Surtout s’il y a un arrêt maladie pour épuisement professionnel à la clé!
      Et faites-vous appuyer par les représentants du personnel.
      Avec tout cela, ils seront obligés de faire quelque chose. Aménager votre poste, vous changer de service, embaucher quelqu’un de plus, bref, un changement quelconque. Et si rien ne se passe malgré tout, restez en arrêt maladie! Ils seront bien obligés de prendre quelqu’un pour faire le travail à ce moment là!
      N’ayez pas peur : vous êtes tout à fait légitime pour vous arrêter dans votre cas. Vous n’avez pas besoin d’avoir déjà une maladie physique pour cela. L’épuisement est une cause d’arrêt.
      n’attendez pas de vous déclencher une maladie grave pour le faire. Il est plus que temps!

      • Marie

        Bonsoir,

        Merci pour votre message et pour vos conseils. C’est vrai que je devrais m’arrêter (cela ne m’est pas arrivé depuis 10 ans (deux mois d’arrêt à l’époque car je n’allais pas bien du tout). Je n’ose pas m’arrêter, car je travaille avec mon époux et j’ai trop peur que cela lui porte tort. Combien de fois je suis allée travailler alors que j’étais malade sans jamais m’arrêter ! Ce genre de chose personne ne le remarque … Cet après-midi encore je me suis sentie face à un mur d’incompréhension pendant une réunion de service et une fois de plus on m’a rajouté du travail imprévu qui prend du temps et qui m’empêche de faire le reste de mon travail. J’ai encore redit qu’à un moment donné rien ne serait fait dans les temps car si on rajoute tous les jours des choses encore plus urgentes que les précédentes il y aurait un problème. Eh bien, personne ne m’a soutenue. Je suis écœurée. Alerter le médecin du travail ou le service RH, est une chose qui porte tort au salarié chez nous (nous l’avons vécu il y a quelques années, le médecin du travail qui nous suivait a tout simplement était déplacé avec interdiction de s’occuper de nous à une période où plusieurs personnes étaient très mal). Voilà je vais essayer de tenir le coup, mais je ne sais pas jusqu’à quand. Bonne soirée et merci encore.

        • Isabelle Belledant Renard

          Oh Marie,
          Vous m’épouvantez.
          Vous ne vous écoutez pas, vous faites toujours passer les besoins des autres avant les vôtres. Sauf que vous aussi, vous avez vos limites! Un de ces quatres, vous n’aurez plus le choix du tout et vous serez obligée de vous arrêter, car vous aurez quelque chose de grave ou ferez un burn-out! Et croyez-moi, dans ces cas là, on met des années à s’en remettre!
          Ça ne portera pas préjudice à votre mari si vous vous arrêtez. Vous êtes deux personnes différentes.
          Et par ailleurs, si il y a des année de cela l’employeur pouvait faire ce qu’il voulait et ne se sentait pas concerné par la santé au travail de ses salariés, ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui. Il y a des lois récentes qui rendent l’employeur responsable.
          Si vous n’en pouvez plus, arrêtez- vous, ou cessez de faire tout simplement tout ce qu’on vous met sur le dos! Vous n’êtes pas une mule. Vous avez un poste de travail avec une fiche de poste!
          Faites ce que vous pensez devoir faire dans l’ordre, et ne faites pas ce qui dépasse! Tant que vous continuez à vous charger de tout, il n’y a aucune raison pour qu’ils embauchent quelqu’un d’autre pour vous aider, où vous donné moins de boulot.
          Donc, d’une manière ou d’une autre : LEVEZ LE PIED. Il y va de votre santé, voire de votre vie…

  • marchal

    bonjour, je travaille depuis 15 ans dans une grande surface et depuis qlq années l ambiance c est dégradée , nous ne sommes jamais reconnu ni par les clients ni par la hiérarchie , je ne supporte plus de travailler en équipe , tout le monde n en fait qu a sa tête , c est du chacun pour soi ,enfin en un mot , marre marre, marre , mon rêve est d ouvrir une maison d hôtes en bretagne (je vis en Belgique) mais financièrement c est impossible , je suis au bord de la dépression et pourtant je suis un fort caractère comme on dit , mais là j en leux plus

    • Isabelle Belledant-Renard

      Je comprends ce que vous ressentez. Quand on a l’impression d’être pris au piège et qu’il n’y a aucune solution.
      Pourtant, des solutions existent. Mais il faut commencer par vous poser et vous reposer pour pouvoir y réfléchir calmement.
      Prenez un congé si vous en avez, de manière à vous reposer un peu. Et prenons rendez-vous pour en discuter. je peux vous aider à trouver vos solutions et à organiser une stratégie pour vous en sortir. Faites-le avant de complètement craquer!

  • couchoune

    Bonjour
    Préparatrice hospitalière j exerce ce métier depuis 18 ans . Blasee de faire la meme chose j ai effectuee un bila de compétence et j ai demander de faire une formation relatif a ce bilan donc j attends l accord .Je vais a reculons au travail en attendant cet accord et je n ai pas beaucoup de motivation comment puis je en attendant que cette formation se déclenche ?Je ne fais pas bq d effort et mes rapports professionnels sont distants.Je suis lassee et vais a reculons au travail

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonsoir Estelle,
      Vous avez raison de garder des rapports distants au boulot, c’est une manière de vous protéger. Si vraiment cela devient trop difficile d’y aller, demandez un congé sabbatique – une mise en disponibilité si vous êtes dans le public – . Vous pouvez également vous faire arrêter par la médecine du travail ou par votre médecin traitant. Il faut également protéger votre santé, qui peut être mise à mal si cette situation se prolonge…
      Bon courage, et protégez-vous, vous avez raison, c’est le plus important.

  • Ouassila

    bonjour
    je suis banquière depuis 8 ans déjà, j’ai 31 ans et je ne peux plus continuer comme ca
    la routine boulot dodo, me tue j’ai déjà essayé de changer de poste mais ça n’a rien donné, je ne supporte plus rester toute la journée au bureau et respecter les horaires de travail de 8h à 17h et 5/7 jours ..je n’ai plus le temps pour moi ni pour mon chéri ..je me réveille tout les jours fatiguée malgré que j’ai pris récemment un congé mais rien a changer
    je veux carrément changer de boulot et de secteur ..je veux travailler et et vivre en même temps ..je veux profiter de ma jeunesse
    le plus grand problème je ne sais pas ce que je veux et ce que je peux faire dans ma vie
    Aidez moi svp ! je suis perdue

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonjour Ouassila,
      La première chose à faire est un bilan de compétences. Il vous permettra de faire le tour de ce que vous savez faire, savez être, êtes capable de faire, et de ce que vous aimez. Cela permettra de faire émerger des pistes d’environnement professionnel, de formes de travail qui vous conviennent, voire faire apparaître des pistes de métiers. Demandez-le à votre employeur, vous y avez droit. Ensuite, quand ces premières pistes auront été dégagées, je pourrais vous aider si vous le souhaitez à préciser et construire votre projet, jusqu’à sa réalisation. Nous pouvons aussi démarrer ensemble le bilan de compétences, ou prendre un centre de bilan à côté de chez vous.
      Vous allez voir, cela va déjà bien vous éclaircir les idées! 🙂
      Je vous laisse me recontacter…
      À bientôt!

  • Élisa

    Bonjour, je souhaiterais avoir quelques précisions sur l’enchaînement du congé sabbatique et du CIF SVP =)

    un de nos salariés est actuellement en congé sabbatique jusqu’à juillet 2016. Il souhaite faire un CIF et nous demande une autorisation d’absence pour un CIF qui ne commence qu’en septembre. Que se passe t il durant les 5 semaines qui séparent les deux congés si on accepte l’autorisation d’absence. Sommes nous obligés de le faire travailler pour un mois avant son départ en Cif ?

    Merci infiniment pour votre retour.

    Bien à vous

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonsoir Elisa,
      Oui en effet, au retour de congé sabbatique, vous avez obligation de redonner son poste à votre salarié, ou un poste équivalent.
      Cependant, dans votre situation, il est fort probable que votre salarié ne souhaite pas revenir travailler pour les cinq semaines entre la fin de son congé sabbatique et le début de son CIF ( s’il est accepté par votre OPACIF ).
      Si cela vous arrange des deux côtés, vous pouvez lui faire prendre par anticipation les congés payés auxquels il aura droit suite à son CIF (mais dans ce cas il n’en aura pas au retour), ou bien convenir d’une période de congé sans solde avec lui. Si le salarié avait un compte-épargne-temps non utilisé, c’est le moment de le mettre en oeuvre.
      Donc, à vous de voir avec lui s’il souhaite retravailler ou non pendant ce cours laps de temps, et de lui faire une proposition.Sinon, vous lui trouvez bien une petite place pour remplacer quelqu’un en plein congés d’été…;)
      Merci de votre confiance!

      • Élisa

        Merci pour ce retour rapide clair et complet ! Effectivement nous avons en tant qu’employeur plusieurs possibilités. J’ai oublié de vous préciser que le salarié a pris un congé sabbatique de 10 mois. Peut on lui proposer de prolonger d’un mois pour atteindre la durée maximum ou plutôt peut il le demander. Etant actuellement en congé sabbatique le salarié doit il informer l’employeur de son intention de reprendre son poste même si sa demande d’autorisation d’absence de CIF a été acceptée? Dans son courrier un delai de trois mois a été indiqué. Par ailleurs, merci pour votre réactivité et votre réponse, d’avoir pris le temps. Bonne continuation !!

        • Isabelle Belledant-Renard

          Bonsoir Elisa,
          Merci de ce compliment! 🙂
          Oui, en effet, le salarié est censé demander sa réintégration. Mais ce n’est pas grave, il peut repartir le jour même, voir, ne pas venir du tout si les deux congés coïncident.
          Et oui, tout à fait. S’il lui reste du temps sur son congé sabbatique, il serait judicieux qu’il complète ce temps. Il est fort probable qu’il le demande, et vous pouvez toujours lui demander s’il souhaite l’utiliser, au cas où il n’oserait pas le demander lui-même. Bien sûr, là aussi, c’est à lui de faire la demande.
          Vous pouvez tout-à-fait vous arranger avec votre salarié pour résoudre cette situation sans difficulté, en lui demandant tout simplement ce qu’il souhaite faire pendant cette période et en lui rappelant ses droits, sans l’obliger à les utiliser, évidemment.
          Cela ne devrait pas poser de soucis. S’il a demandé un CIF suite à son congé, c’est certainement qu’il ne souhaite pas vraiment revenir au travail dans l’immédiat! 😉
          Bien à vous

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonsoir Ced,
      Si vous n’en ouvrez plus, il faut tout simplement commencer par… Vous arrêter.
      Oui, à paraît bête comme ça, mais c’est pourtant l’évidence. Vous êtes épuisé, faites-arrêter. L’épuisement professionnel est tout à fait reconnu, et est un cause d’arrêt maladie suffisante. Vous n’avez pas besoin d’attendre de tomber malade pour cela. C’est de la prévention. Car si vous continuez à travailler alors que vous êtes épuisé, vous courez droit au brun out ou à la grave maladie, dont vous mettrez beaucoup plus longtemps à vous remettre.
      Si jamais vous avez des congés à prendre , prenez-les. N’ayez pas de scrupules. C’est votre responsabilité de vous préserver et de préserver les autres des conséquences de votre épuisement. Un accident est vite arrivé, surtout quand on conduit 50 heures par semaine…
      Ensuite, et bien, vous pourrez réfléchir à tête reposée à votre avenir. Voulez-vous continuer ce métier dans ces conditions ou vous reconvertir?
      Demandez alors un bilan de compétences qui vous permettra d’y voir plus clair.
      Quand vous saurez mieux vers quoi aller, vous demanderez un CIF pour partir en formation, puis une mise en disponibilité !
      Et en route vers une nouvelle vie!
      Mais commencez d’abord par vous reposer, il me semble que l’urgence est là…
      Je peux vous aider dans cette démarche si vous le souhaiter.
      A vous de voir.Bon courage en tous cas et tenez moi au courant!

  • Delauri

    J’aimerai changer de travail, pour moi un travail plaisant c’est avant tout un travail de passion, j’ai des passions qui malheureusement ne coinside pas avec de métier dit « débouchés » avec lesquel je peux gagner ma vie correctement, j’aime les animaux, l’informatique, le high-tech, les jeux vidéo, le sport mais dans tous ces thèmes il est bien difficile de trouver une formation qualifiante, c’est dès métiers dit bouchés, je travail actuellement en cdi et c’est un gros risque de tout plaquer

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonsoir Cédric,
      Je suis tout à fait d’accord avec vous. Je ne conçois pas un métier autrement que par passion, vu qu’on y passe les trois quarts de notre temps.
      C’est pourquoi prendre une filière qui ne serait pas  » bouchée  » est réservée à ceux qui n’envisagent que de « gagner leur vie », peu importe s’ils s’y ennuient.
      Car oui, malheureusement, bien souvent, quand on choisit une filière juste parce qu’elle nous plait, on n’est pas tout seuls dessus, car beaucoup d’autres ont fait le même choix.
      Cependant, je dois remettre en question la notion de filière bouchée.
      Ça fait quarante ans qu’on entend ce refrain, et que toutes , ou presque, les filières sont  » bouchées » à partir du moment où de toute façon, il y a plus de candidats potentiels que de postes offerts sur le marché.
      Une filière qui n’est pas  » bouchée » , c’est une filière qui correspond à un nouveau besoin qui vient de se créer. Mais cinq ans après, c’est déjà fini, le marché est déjà saturé. Car bien sûr, pendant ce temps-là, on a continué à former des milliers de jeunes sur ce créneau dit d’avenir, sans s’occuper du fait que le besoin allait vite passer.
      Alors, mon conseil, suivez vos passions. Sans vous occuper de savoir si c’est bouché ou non. Car à l’intérieur d’un même métier, il y a mille façons de l’exercer, et mille spécialités.
      Mais surtout, soyez à l’écoute des besoins émergents des gens, des utilisateurs, des clients potentiels. C’est ce qui vous permettra, quel que soit le secteur choisi, de faire la différence avec les autres, que ce soit en tant que salarié ou créateur d’entreprise.
      C’est le fait d’être à l’écoute de l’avenir qui vous permettra de trouver votre spécificité. Car les besoins des clients évoluent sans cesse, que ce soit dans le soin aux animaux, l’informatique, où les jeux vidéos. Faites une formation qui vous assurera les bases et construisez vous le reste.Et surtout, il n’est pas question de tout plaquer. Utilisez votre CIF, votre CFP, votre bilan de compétences… Et ne partez que quand vous aurez trouvé ou entrepris autre chose.

      Ceux qui vous parlent de filières bouchées vous parlent du présent, donc, du passé. Demain sera différent. Alors, allez de l’avant! Soyez audacieux!
      Et poursuivez votre rêve, quel qu’il soit!

      Excellente année de transformation à vous ! 🙂

  • Fafa

    Bonsoir Isabelle,
    Tout d’abord, je vous remercie d’avoir ptit le temps de me répondre 🙂
    Et bien j’ai mis en œuvre vos conseilles, j’ai changé de service. Tout se passe mieux, mais quelques semaines après, je ressens le besoin de changer complètement de vie professionnelle. Car, cette ambiance et mentalité militaire ne me correspond plus. Cela peut paraître bête, mais je pense être trop gentil pour ce milieu. Malgré mes 9 année de service à mon actif. Je rêve secrètement de me tourner vers un métier plus artistique, comme par exemple le métier visuel merchandiser ou bien celui d’infographiste. N’ayant aucun diplôme dans ces domaines, j’ai des doutes. Enfin, pour le moment je recommence à sentir une lassitude qui risque de vite repointer le bout de son nez…bien à vous

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonsoir Fafa!
      Ravie d’avoir de vos nouvelles, et d’apprendre que vous avez mis en oeuvre mes conseils avec profit!
      Si je me souviens, bien, il vous reste seulement quelques mois à accomplir de votre engagement.
      Donc, maintenant que vous avez retrouvé un peu de tranquilité dans ce nouveau service, voilà qui vous laisse du temps et de l’énergie pour préparer votre sortie!
      Artiste? Pourquoi pas? Si cela correspond à quelque chose de profons chez vous et à des talents que vous avez déjà commencé d’exercer en dehors du travail… Bien sûr, ce peut ētre un choix par rejet. Vous en avez tellement assez de la mentalité militaire que vous vous tournez vers ce qui y est le plus opposé! Il convient bien sûr de réfléchir à tous ces aspects.
      Les formations, ça se trouve. Une fois que l’on a trouvé sa voix, ce n’est pas forcément le plus compliqué à obtenir.
      Ce qu’il vous faut, c’est construire un projet.
      Je ne sais à quelles prestations vous pouvez prétendre en tant que militaire, mais je suis sûre qu’il doit exister un service qui s’occupe d’aider les militaires à préparer leur retraite.
      Commencez d’abord par le trouver et prenez rende-vous. Vous saurez déjà quels sont les dispositifs prévus par l’armée et à quelles prestations vous pouvez éventuellement prétendre.
      Ensuite, il vous falloir construire un projet réaliste.
      Quelles sont vos compétences, aptitudes, que vous avez pu exercer dans ou en dehors de votre travail qui pourront vous servir. Quels sont vos goûts, centres d’intérêts, loisirs, activités. Quelles sont vos passions. Quelles seront les ressources dont vous disposerez en sortant. A partir de tous ces éléments, des possibilités vont émerger qu’il faudra explorer dans le réel…
      Je peux vous aider à construire ce projet si vous le souhaiter. En tous cas, je reste à votre disposition.
      Voilà de belles perspectives qui s’offrent à vous! Dans quelques mois, vous serez libre et pourrez faire ce que vous voulez vraiment faire dans la vie!
      À vous d’y réfléchir durant les quelques semaines qui vous restent encore à effectuer…
      Bonne chance! Et à bientôt de vos nouvelles!

  • Gauthier

    Bonjour Isabelle,

    je ne me souviens plus quelle était la phrase que j’ai inscrite dans la barre de recherche google ce soir là, mais je crois que c’était du style « j’en peux plus de mon boulot ».
    J’espérais peut-être tomber sur des dépressifs, désespérés comme moi d’aborder un marché du travail angoissant.
    Et j’ai osé cliquer sur « marreduboulot.com ». Et ce fut bien mieux que les dépressifs !
    Une rapide lecture de quelques articles sur le burn-out, changer de collègues de travail… m’a immédiatement remis dans le droit chemin.
    Oui, je ne suis pas seul à penser que la souffrance a un temps et a ses limites !
    Oui, cette Isabelle a le cran d’afficher l’indignation induite par certaines situations professionnelles aux aspects de prime abord confortables !
    Oui, Isabelle connait le monde du travail, les collègues retords et des ficelles qui servent d’échappatoires !
    Oui, son discours est bienveillant, argumenté, fondé et valorisant !
    En clair, j’ai retrouvé ma combativité dès le lendemain pour me re-concentrer sur : changer d’entreprise ou de boulot au plus vite.

    Je suis en maladie depuis presque 4 semaines pour un burn-out diagnostiqué par le médecin du travail au téléphone. Je vais mieux, je rassure les inquiets.
    J’étais très fatigué et stressé, c’est bien vrai. Il me semblait pourtant avoir encore du jus, mais je n’ai pas hésité une seconde, le lendemain j’étais arrêté par mon généraliste.
    Mes chefs étaient bien partis en vacances en me laissant de belles patates chaudes à gérer en plein mois d’août. Je me devais de leur rendre cette politesse, puisque le management serpillière m’avait rincé et avait réussi à me faire douter. A quoi me servait de bien faire mon boulot ?
    Heureusement j’ai pas mal navigué et je sais qu’il existe des gens biens dans le monde du travail. Ils arrivent encore à préserver des valeurs humaines.

    Lundi je m’impose de reprendre le travail car j’ai bien peur d’en avoir encore moins envie plus tard.
    La mise au pli de mes chefs a été faite et je dois mettre en place mon projet de formation dans le cadre d’un CIF.
    A moins qu’un de mes CV déposé sur le marché n’ait des retombées inopinément opportune…
    Je n’ai pas peur de bouger puisque je l’ai déjà fait plusieurs fois, mais il faut avouer qu’en ce moment le marché du travail est plutôt médiocre.
    J’ai 4 enfants et une épouse qui se démène auprès de « l’oncle paul » pour obtenir le financement de sa formation.
    Que c’est dur la vie d’artiste au XXIè siècle !

    Merci beaucoup Isabelle.

    (PS : j’espère que l’avatar qui me sera appliqué préservera ma dignité ! 🙂 pas le temps ce soir d’y remédier)

    • Isabelle Belledant-Renard

      Waouh! Ça c’est du commentaire! 🙂
      Ce doit être le plus enthousiaste que j’ai reçu sur ce site!
      Ça me fait un énorme plaisir de voir que mes articles ont pu servir à vous redonner la pêche et l’envie de vous en sortir, simplement par leur lecture!
      Je suis très heureuse!
      Bravo pour votre décision ! Et oui, l’herbe est souvent plus verte ailleurs, quoiqu’on en dise.
      Le chômage permet à certains managers de se croire tout permis. Mais heureusement, tous ne sont pas pourris!
      En nous répétant à longueur de journal télévisé les chiffres du chômage, on fait croire à la population qu’il n’y a pas de travail en France, ce qui induit un climat de peur et de soumission, porte ouverte à toutes les dérives. Mais c’est faux!
      Il y a du travail! C’est juste que c’est très long pour en retrouver un quand on n’en a plus. Mais du travail, il y en a! Il se crée tous les jours des emplois, ce dont se gardent bien de nous parler les médias.
      Alors, courage, relevons nos manches et allons le chercher, ou le créer! Et laissons les crétins qui préfèrent se battre entre eux comme des rats dans une boîte, finir par être victimes eux-mêmes de leurs méthodes de management dépassées.
      Un très grand merci, Gauthier, pour ce commentaire génial, et pour avoir si bien compris le sens de ma démarche. Si je peux vous aider à quelque chose, notamment pour vous aider dans votre projet de CIF, ce sera avec grand plaisir!

      Quant à votre avatar, et bien, je décline toute responsabilité ! Lol
      A très bientôt, tenez-moi au courant! 🙂

  • Fafa

    Bonjour,
    Pour ma part j’ai 30 ans et j’en ai déjà marre de bosser tout ce que vs dite me parle ! J’ai la chance d’avoir des chefs géniaux mais une chef direct complètement folle et immature.
    J’ai envie de tout plaquer, alors qu’il ne me reste que 7 ans à bosser avt d’avoir ma pension de militaire rente à vie ! Je suis complètement pommé, fatigué, je prends du retard ds ma vie perso !
    J’espère que cela me passera ça a commencé il y a un an maintenant !
    Enfin…

    • Isabelle Belledant-Renard

      Bonjour Fafa,
      Comme je vous comprends.
      C’est terrible de voir qu’on peut en venir à vouloir tout plaquer à cause d’un ou d’une petit(e) chef qui vous rend la vie impossible.
      Est-ce que ce travail vous plait par ailleurs?
      Si oui, étant donné que vous avez des chefs géniaux, peut-être vous serait-il possible de demander un changement de service ou une mutation?
      les mesures que je cite sur le site ne s’appliquent pour la plupart qu’aux salariés du privé, vous savez comme moi que la « Grande Maison » est un monde à part avec ses propres rêgles.
      Quels sont les dispositifs dont vous pouvez bénéficier dans l’armée?
      Renseignez-vous, il y a sûrement un service d’assistance, ne serait-ce que psychologique.
      En tout cas je vous conseille de zaper la sacro-sainte voie hiérarchique pour demander l’appui, non officiellement bien sûr, de vos supérieurs que vous dites géniaux. Ils sauront sûrement vous conseiller et peut-être vous offriront-ils une porte de sortie…
      Il paraît difficile en tous cas de tenir encore 7 ans dans les mêmes conditions. Ne vous isolez pas et parlez-en à qui de droit avant que la situation ne vous fasse faire une bêtise….
      Bon courage et tenez-nous au courant!

  • TAVIN

    Je viens de terminer 3 mois d’accompagnement avec Isabelle et nos rendez-vous vont me manquer ! Un grand sourire, une écoute attentive des yeux très expressifs et une chevelure foisonnante, c’est sur skype est fait pour elle 🙂 ce serait dommage de rater le dialogue gestuel et émotionnel avec elle o_O

    Sinon un réel intérêt pour la personne suivie, un temps certes limité puisqu’elle n’a pas que nous dans son emploi du temps ( zuuuuttt !!!) mais je ne me suis jamais senti coupé dans mon élan, dans une reflexion ou une analyse et ça c’est très appréciable… contrairement aux petits réveils posés sur les tables basses de certains psychologues que je trouve des plus irritants…’parait que ça fait partie de la thérapie, mouiiiiiii?

    Notre objectif a été atteind, elle a su changer son organisation en focntion des évènements, des heureuses ou malheureuses nouvelles qui ont jalonnées mon parcours. Elle m’a fait me poser des questions auxquelles je n’aurais pas pensé ( ou pas voulu penser ).

    C’est un regard, une analyse d’expertise, de bienveillance et de stimuation

    merci Isabelle
    à bientôt

    • Isabelle Belledant-Renard

      Merci beaucoup Lucie, pour votre adorable commentaire!
      C’est très gentil à vous! 🙂
      J’ai moi aussi beaucoup apprécié de travailler avec vous.

      Bon courage pour la suite de votre projet et à très bientôt de vos (heureuses) nouvelles! 🙂
      Isabelle

  • Pierre ANTOINE

    Bonjour Isabelle,
    Tout d’abord merci pour votre commentaire sur mon article traitant du tutorat. http://etpourtantelletourne.com/un-tutorat-reussi/
    Votre programme me plait bien, il y a d’ailleurs très longtemps que je l’ai adopté, je n’ai jamais aimé travailler pour les autres.
    Juste un petit bémol sur la phrase, « Assez de vous épuiser pour un salaire qui n’en vaut pas le coup, d’avoir du mal à boucler vos fins de mois sans jamais apercevoir d’augmentation? ». Prévenez vos lecteurs que les débuts ne sont pas toujours tout rose et qu’il faut souvent être prêt à faire des concessions pour arriver à atteindre ses objectifs.
    J’anime souvent des formations sur le thème « Déterminer et atteindre ses objectifs » et jusqu’à ce jour, jamais personne ne m’a dit « Mon objectif, c’est d’être heureux !!! » Surprenant, n’est-ce pas ? A mes yeux, ça devrait être l’objectif principal de tout un chacun…
    Bonne continuation, je vais suivre votre blog de près.

    • Isabelle BelleIsa

      Tout à fait d’accord Pierre, je vais bientôt écrire des articles plus de fond sur le thème du changement de vie. C’est clair qu’on n’a rien sans rien, et qu’il y a toujours une prise de risques, même si on peut limiter les dégâts en se préparant bien et en utilisant les mesures adéquates. Mais c’est clair que ça implique nécesairement de renoncer à quelquechose. C’était tellement êvident pour moi que je n’ai pas pensê à en parler! Bonne remarque, je vais en parler prochainement.
      Ceci dit, mon but est de donner du courage et des tuyaux â ceux qui n’osent pas se lancer, donc, faut pas les effrayer tout de suite! 😉
      A bientôt! 🙂

    • Isabelle BelleIsa

      Merci Eric! Un témoignage live est toujours encourageant pour ceux qui n’osent pas encore se lancer…le risque et l’inconnu, la crainte de l’échec et de se retrouver dans une situation pire à l’arrivée peuvent paralyser mais quand on accepte de se jeter enfin dans la piscine, quelle sensation de liberté! Et de dignité retrouvée… Ca vaut le coup! 🙂
      Une invitation au bonheur, bonne idée… Merci de nous en envoyer quelques bouffées par ton petit message! 😉

  • Bernard

    Bon courage Isabelle. Pour créer et puis faire vivre un blog comme celui-là, il en faut de l’enthousiasme et de l’énergie. Je lui souhaite longue et bonne vie !
    Bernard